Aaron Carter est dans de beaux draps : d'après TMZ.com, le frère du Backstreet Boy Nick Carter s'est vu dans l'obligation de se déclarer en faillite personnelle. Visiblement à sec, le jeune chanteur, qui fut un Justin Bieber bien avant Justin Bieber, doit en effet une somme monstre au fisc. Une somme qu'il n'a bien évidemment pas les moyens de payer.
Il a connu la gloire dans ses très jeunes années, mais finalement, du succès rencontré, Aaron Carter n'aura pas réussi à conserver grand chose. Pas même un petite fortune. S'il continue à fouler les scènes américaines, le blondinet de 25 ans n'a plus un rond... ou presque. Selon TMZ, le jeune homme a déclaré auprès de la justice américaine n'être propriétaire que d'un petit patrimoine d'environ 8 231 dollars. Sachant qu'il doit en réalité au fisc américain pas moins de 1 368 140 dollars, on peut donc conclure que la richesse du chanteur est réduite à néant.
D'après les documents, Aaron Carter est en effet à ce jour en possession d'une poignée d'objets dont une télé, 2 MacBook, un clavier, une enceinte, une guitare, un bagage Louis Vuitton, une imprimante - le tout d'une valeur estimée à 2 500 dollars. Ajouter à cela une télé écran plat (500 dollars) ainsi qu'une superbe montre Breitling à 3 750 dollars et ça s'arrête là. Comme le précise TMZ, le chanteur désigne également un chien dans la liste de ses propriétés mais celui-ci compte malheureusement pour du beurre et ne pèse absolument rien dans la balance.
Qu'il se rassure cependant, Aaron Carter n'est pas le premier à connaître de tels déboires financiers. Et il ne sera sans doute pas le dernier. A Los Angeles, les déclarations de faillites personnelles sont courantes, et émanent souvent de célébrités à la carrière quelque peu essoufflée. Récemment c'était en effet Tori Spelling qui, dans ses mémoires, dévoilait avoir "fait de mauvais choix financiers". Il faut dire que pour rivaliser avec le grand train de vie d'Hollywood, il faut savoir mettre facilement la main au porte-monnaie. Avec les risques bien entendu que cette attitude dépensière comporte.