La princesse est prête à tout pour réussir ce nouveau défi sportif et engagé : depuis plusieurs semaines, Charlene de Monaco prépare sa traversée de la Méditerranée à vélo marin, entre Calvi et la Principauté. Un challenge organisé au profit de sa fondation et la prévention de la noyade. Dans une nouvelle interview accordée au magazine Point de vue du 29 juillet 2020, l'épouse du prince Albert s'est confiée sur ce challenge ambitieux, qui ne manque pas d'inquiéter son mari...
Les 12 et 13 septembre prochain, au sein d'une des deux équipes de quatre athlètes attendues, l'ex-nageuse sud-africaine de 42 ans partira depuis le port de Calvi pour 24 heures de course. Les sportifs se relaieront sur 180 km et ce, jusqu'au Yacht Club de Monaco, la ligne d'arrivée. "Lorsque je me fixe un objectif, je fonce (...). Mon époux, le prince Albert, est, comme moi, un ancien athlète olympique. S'il accompagne et encourage ce type de projet, c'est aussi parce que le courage, la ténacité et le sens du dépassement de soi font partir intégrante de sa personnalité (...). En tant qu'athlète, j'ai été entraînée à battre des records du monde, et c'est le genre de chose qui reste ancré en vous pour toujours. Même si je dois sauter à l'eau et terminer à la nage, j'irai jusqu'au bout."
Le prince Albert soutient pleinement son épouse, comme les internautes ont pu le découvrir mardi sur le compte Instagram de la jolie blonde, dans une vidéo où il semble jouer les coachs jusque tard le soir... Mais le souverain de 62 ans, tout juste remis du coronavirus, est quelque peu anxieux de voir la mère ses enfants, Jacques et Gabriella (5 ans), se lancer dans un tel défi : "Il sera là pour me soutenir, à bord d'un bateau. Albert est enthousiasmé par le projet, mais il s'inquiète aussi pour moi. Je suis une maman, j'ai des devoirs envers mon pays, j'ai parfaitement conscience du caractère un peu... hors norme de cette aventure. Mais toutes les conditions de sécurité seront réunies."
La princesse Charlene et ses coéquipiers, dont le champion de MMA Conor McGregor, seront suivis de près puisque ce challenge nautique n'est pas sans risque : "C'est une discipline assez technique, car il n'y a pas que la machine elle-même qui est à prendre en compte, il faut aussi défier les éléments, le vent, la houle et les courants, qui échappent à toute forme de contrôle, a-t-elle expliqué à nos confrères. Et ce sont des engins qui ont été conçus à l'origine pour des eaux calmes. Or cette fois, ils vont devoir affronter des vagues et côtoyer des baleines." Rien que ça !