Rien ne va plus entre Thierry Ardisson et Alessandra Sublet, la guerre semble définitivement déclarée entre les deux animateurs et l'homme en noir n'y va pas avec le dos de la cuillère.
Tout a commencé avec un portrait peu flatteur dressé par l'animateur à propos de sa consoeur dans Paris Match en mai 2012, portrait dans lequel il l'avait alors qualifiée de "Madame Sans-Gêne" qui "ne fait que glousser et ricaner". Puis, c'est dans les pages de Télé 7 jours qu'il enfonçait le clou en juillet dernier en déclarant à son sujet : "Je n'ai rien contre elle, mais Alessandra Sublet sur la chaîne du savoir, c'est quand même un comble !"
Des déclarations qui ne sont pas tombées dans l'oreille d'une sourde puisqu'Alessandra répliquait aussitôt dans Paris Match, indiquant qu'elle ne souhait pas entrer dans ce jeu-là... Lâchant toutefois que Thierry Ardisson ne faisait désormais parler de lui que par ses déclarations et non plus par ses émissions !
Il n'en a pas fallu plus pour que l'animateur riposte avec force samedi 31 août, et c'est sur le plateau de son émission Salut Les Terriens sur Canal+ qu'il a frappé un grand coup. En effet, alors qu'il accueillait son confrère Eric Naulleau, Thierry Ardisson s'est livré à une imitation de l'animatrice, maman d'une petite Charlie. Et lorsque Thierry Ardisson parodie la jolie brune, l'heure est aux bourdes, fautes de français, informations erronées et autres questions sans intérêt. Thierry est même allé jusqu'à se tromper dans le nom de son interlocuteur en appelant Eric Naulleau Eric Zemmour, avant d'ajouter : "Oh c'est pareil, Eric, Eric. C'est pareil, c'est pas grave, moi je m'en fous !"
Vendredi 4 octobre, c'est par le biais d'une interview à nos confrères de Télé Loisirs qu'Alessandra a tenu à réagir à cette nouvelle attaque frontale de l'animateur vedette en déclarant : "N'imaginez pas que cela m'atteint et que je rentre chez moi le soir en me disant 'Qu'est ce qu'il est méchant'. Ca me fait juste bien rigoler. Thierry Ardisson a toujours eu cette manie de se créer des ennemis (...) Le jour où il faudra repartir dans l'arène, j'aurai les armes !"