Le 21 septembre 2004, Amanda Sthers etPatrick Bruel se disaient "oui". Un mariage célébré en deux fois à Paris devant plusieurs célébrités comme Johnny Hallyday, Sandrine Kiberlain et Gad Elmaleh. Mais depuis, les parents d'Oscar (né en 2003) et Léon (né en 2005) ont demandé le divorce. Dans le dernier numéro de Psychologies Magazine, paru en kiosque ce mercredi, la romancière, scénariste et réalisatrice de 45 ans est revenue plus en détails sur les dessous de son union avec le chanteur, confiant notamment à nos confrère avoir "souffert de cette idée persistante selon laquelle, parce que j'avais été mariée à Patrick Bruel, j'avais eu des passe-droits".
"J'avais beau savoir que c'était faux, cela me blessait", a-t-elle révélé au magazine. C'est notamment pour cette raison qu'elle a décidé de plier bagage et de partir s'installer à Los Angeles avec ses enfants, à l'image de M. Pokora ou d'Omar Sy : "Là, je pouvais repartir de zéro, c'était effrayant en même temps qu'amusant : je ne connaissais personne, personne ne connaissait Patrick, j'avais mon script sous le bras, je ne savais pas si les gens allaient aimer, si j'avais le droit de faire ce métier dans une autre langue que la mienne."
Sinon, je tombe
Cette situation n'a en revanche pas empêché les deux artistes de rester en très bons termes après leur séparation. "Nos enfants ont de la chance de t'avoir comme papa", avait notamment écrit l'écrivaine à l'occasion des 63 ans de Patrick Bruel, il y a un peu plus d'un an. "Une entente extraordinaire", émane de leur relation actuelle, comme l'avait confié le célèbre interprète de Place des grands hommes dans un entretien accordé à nos confrères de Gala en novembre dernier.
De quoi certainement ravir leurs deux garçons, alors que le cadet Léon vient de suivre son grand frère en quittant "le nid" familial, comme l'a expliqué sa maman dans cet entretien pour Psychologies Magazine. Une situation difficile, reconnait-elle : "Je dois absolument trouver comment transformer ce passage douloureux en quelque chose de ludique, sinon, je tombe : soit je pars à la retraite, soit je me réinvente une jeunesse et là, il y a une joie presque enfantine à le faire."
Mais pour l'instant, pas question de "tomber" pour Amanda Sthers, de retour en France cet été pour faire la promotion à Paris de son film Les promesses (qui sort le 9 aout prochain au cinéma, ndlr) puis pour filer "prendre l'air de Marseille". Un break qui devrait lui faire le plus grand bien !