Alors qu'elle est attendue d'ici la fin de l'année à l'affiche avec son troisième long métrage, By The Sea (Vue sur la mer), Angelina Jolie est de retour à la maison. Ces dernières semaines, la star américaine a mis en boîte First They Killed My Father, un film chapeauté par Netflix et adapté du récit de l'écrivain et activiste Loung Ung.
Et c'est au Cambodge que la réalisatrice avait élu domicile, accompagnée par quatre de ses six enfants. En tête, Maddox, 14 ans et originaire du Cambodge, où il a été adopté par la star et par son mari, Brad Pitt. "Maddox sera sur le plateau chaque jour après l'école et impliqué en coulisses. Il est mon fils, mais il est aussi le fils du Cambodge. Le temps est venu pour notre famille de comprendre tout ce que cela signifie pour lui et pour nous", avait expliqué la mère de famille et cinéaste à l'AP.
Mardi 27 octobre, Angie était de retour à Los Angeles, où elle a été vue à son arrivée à l'aéroport LAX. Lunettes de soleil sur le nez, l'actrice et réalisatrice était accompagnée de ses gardes du corps, mais surtout de ses quatre enfants. Shiloh (9 ans), qui arbore une coupe définitivement garçonne (un choix personnel pour la fillette, qui se ferait aussi appeler John) et s'impose toujours comme le portrait craché de son père, menait la petite tribu, suivie d'une Zahara (10 ans) qui ne cesse de grandir, et de Pax (11 ans) et Maddox, qui eux aussi, grandissent à une vitesse folle.
La famille pourra donc se réunir avec Brad Pitt et les jumeaux, Knox et Vivienne, qui n'étaient pas présents à l'aéroport – mais qui ont pourtant été du voyage au Cambodge. Angelina Jolie, qui faisait récemment la couverture du prestigieux magazine Vogue, a partagé des photos d'un shooting en famille où on la voyait complices avec ses enfants. "Nous voyageons beaucoup en Asie, en Afrique, en Europe, là où ils sont nés, confiait-elle. Les garçons savent qu'ils viennent d'Asie du sud-est et ils y ont leur nourriture, leur musique et leurs amis, et ils en retirent une certaine fierté. Mais je veux qu'ils s'intéressent tout autant au pays de leur soeur ou de leur mère, pour ne pas qu'ils se divisent." Force est de constater qu'Angie applique bien ce qu'elle dit.