Ce vendredi 28 avril 2023, France 5 diffuse un reportage sur la poupée la plus célèbre du monde avec Et Dieu créa Barbie. L'occasion de retrouver Arielle Dombasle qui va se confier sur les valeurs et stéréotypes véhiculés par ce jouet. Celle qui a soufflé une bougie supplémentaire le jeudi 27 avril partage la vie de Bernard Henri-Lévy. Les deux tourtereaux se rencontrent dans les années 90 autour d'une séance de dédicaces organisée par le philosophe. Et une chose est sûre, après tant d'années, l'amour est toujours présent : "Pour moi le grand amour de ma vie avec qui je suis encore, c'est Bernard-Henri, cet amant, cet ami, merveilleux écrivain qui est devenu mon mari et que j'adore. J'ai été foudroyée. L'homme de ma vie, c'est lui. Et je décide de le rencontrer et de faire signer mon livre", indiquait-elle sur RTL.
Je fais partie des femmes qui l'ont choisi, voulu
Arielle Dombasle n'est pas peu fière d'avoir tout de suite tapé dans l'oeil de sa moitié : "Il y a beaucoup de femmes et moi, il m'a regardée et il y a sûrement quelque chose qui s'est passé car il a écrit 'A Arielle, en attendant...". Le 19 juin 1993, la chanteuse et le philosophe se disent "oui" pour la vie. Pour autant, si certains s'attendaient à voir naître des enfants de leur amour, ce ne fut pas le cas. Un choix totalement assumé par Arielle Dombasle : "Je fais partie des femmes qui l'ont choisi, voulu. Des sortes d'éternelles jeunes filles. Pasionaria jamais devenue mère. En revanche, j'essaie d'être une parfaite marraine. J'adore les enfants. On joue comme des fous", indiquait-elle à Paris Match en 2020.
Une vie sans bambins qui convient apparemment à tout le monde. "Sans enfants, nous menons une vie privilégiée d'amoureux et nos conversations sont infinies. C'est voluptueux", avait-elle confié au Journal du dimanche. Arielle Dombasle et Bernard Henri-Lévy sont donc très épanouis comme ça. "Quand on n'a pas enfanté soi-même, on reste une sorte de fin de lignée. Un être singulier. 'Après moi, il n'y a personne'. Ne pas avoir eu d'enfant me donne aussi une liberté extraordinaire, je l'ai toujours voulu, je l'ai souhaité ardemment (...) J'adore l'idée de ne pas avoir de descendance", avait-elle indiqué à Voltages. Une façon de rester un être unique.