Tous les samedi, à 18h55 Aurélie Casse et son équipe reviennent dans C l'hebdo, sur les événements qui ont marqué l'actualité. Un rendez-vous que la journaliste, passée par C à vous quelques mois etqui n'a pas eu de soucis avec Anne-Elisabeth Lemoine, contrairement à ce que clamaient certaines rumeurs, illumine de sa bonne humeur et de son talent. Mais qui est vraiment cette figure montante de l'info qui cultive par ailleurs la discrétion ? Alors qu'elle fête ce vendredi 14 juin ses 38 ans, Purepeople vous dévoile tout ce que vous ne saviez pas sur elle.
À l'île Maurice, entre injustices et mal du pays
Le père d'Aurélie, informaticien, est originaire de l'île Maurice. Lorsqu'elle avait une dizaine d'années, la fillette et ses parents sont allés y vivre un an et demi. Et ce fut un choc. "J'ai découvert ce qu'était la pauvreté, expliquait-elle en 2022 à Télé-Loisirs. Un jour, j'ai vu où vivaient les enfants avec lesquels je jouais tous les jours : une petite pièce sans eau. Pourtant, ils étaient comme moi. L'injustice m'a sauté aux yeux." L'expérience n'avait pas été facile, loin de l'Hexagone où elle avait passé ses premières années, elle expliquait d'ailleurs à Gala en février dernier avoir eu "le mal du pays". Ce qui ne l'empêche pas de revenir chaque année dans ce territoire de l'océan indien où elle a ses origines et où vit encore sa grand-mère, Cécile. "C'est une femme forte, qui a dû faire des choix pas faciles. Je l'admire beaucoup", disait-elle encore à Gala
Si aujourd'hui, la plupart des observateurs louent son talent et sa beauté, dans sa jeunesse, Aurélie Casse a connu des heures beaucoup plus sombres. Alors qu'on imagine assez mal aujourd'hui voir des gens critiquer son physique, elle a pourtant fait l'objet de vives moqueries dans ses tendres années ainsi qu'elle le confiait en janvier dernier à la Tribune Dimanche. "On s'est beaucoup moqué de moi à l'école, expliquait-elle. Les traits de mon visage, surtout mon nez étrange, ont été sources de moqueries. Mine de rien, ça m'a longtemps poursuivie". Mais pire que ces sarcasmes infantiles, notre consoeur a aussi connu le racisme. "Je savais que ma couleur de peau n'était pas la même que celle des autres. Mais moi, je ne le percevais pas comme un problème. Enfin, je n'avais pas encore compris que ça pouvait en être un", entamait Aurélie Casse avant de préciser dans quel contexte cette attaque raciste a eu lieu. À l'époque, la patineuse artistique Surya Bonaly était une star très connue. "On en parlait beaucoup dans la cour de l'école se souvient la jeune femme. J'entendais quelques élèves faire des commentaires abjects sur sa couleur de peau. Jusqu'à ce qu'une fille de ma classe se retourne vers moi pour me balancer une remarque raciste tellement abominable que je n'arrive toujours pas aujourd'hui à prononcer ses mots." Devant cette remarque, la journaliste, sur qui une fausse nouvelle a longtemps été colportée, raconte aujourd'hui qu'elle n'est pas parvenue à garder son sang froid. "Sans pouvoir me contrôler, je me suis levée pour la secouer assez fortement. Je reconnais que ce geste violent n'était pas la meilleure des réponses. Mais je devais agir." Sommée de s'expliquer par la maîtresse, Aurélie raconte alors devant toute la classe ce qu'elle vient de subir. "Dès le lendemain, conclut Aurélie Casse, elle a convoqué les parents d'élèves... Plus jamais je n'ai été embêtée."
Sa vie privée ou ses amours ? "Ça n'intéresse personne, je veux me garder ce jardin secret", prévenait-elle dans les pages de Gala en début d'année. Reste qu'il y a quelques jours, la journaliste s'est montrée avec un beau gosse un peu barbu dans les tribunes de Roland Garros. Pas étonnant puisque monsieur est journaliste sportif. Nous n'en saurons pas plus. Tout juste Aurélie Casse lâchait-elle cette phrase en janvier dernier à une consoeur de la Tribune Dimanche qui lui demandait si dans la vie privée, elle était sauvage : "Demandez à mon compagnon. Je ne pense pas être compliquée à vivre mais je suis assez sauvage, avec un très fort caractère. Il faut toujours un peu de temps pour m'apprivoiser.
"Mon Jango, je revois ton corps malade se soulever de joie à la vue de ton collier vert, le collier des souvenirs heureux, des promenades qui n'en finissaient pas dans la forêt ; ces doux moments ne reviendront jamais..." Le 28 juillet 2023, son message sur Instagram a ému tout ceux qui savent le bonheur d'avoir un animal de compagnie. Après des mois de combat, la vie venait d'abandonner Jango, son beau Labrador. Un crève coeur pour sa maîtresse, grande amie des animaux. "Un chien vous aime à la folie. Moi, avec les animaux, je me sens tellement bien. On a beaucoup à apprendre d'eux", expliquait-elle récemment à Gala en racontant que cette passion remontait à son enfance, lorsque son père l'emmenait au zoo de Vincennes et que chez elle, faute de poupées, elle avait toute une famille de pandas en peluche. Désormais, elle se console avec son chat, Jojo et rêve de faire un documentaire animalier.
En attendant de piloter le 20 heures, elle se régale devant Jacques Legros
Devant l'ampleur de sa popularité et au regard de son expérience, tant à BFMTV, chaîne qu'elle a quittée les larmes aux yeux, que sur France Télévisions, nombreux sont les journalistes qui lui demandent si elle accepterait de s'asseoir dans le fauteuil d'un présentateur du 20 heures. Sa réponse, même si elle précise que ce n'est pas à l'ordre du jour, ne varie pas, comme elle le confiait à la Tribune Dimanche : "Si un jour je me retrouve face à une telle proposition, c'est difficile de dire non. II faut être Mélissa Theuriau pour y renoncer. Et la suite lui donne raison. J'admire beaucoup ses documentaires, qu'elle réalise de manière toujours engagée." En attendant que quelqu'un fasse appel à ses services, elle se régale en regardant son confrère Jacques Legros : "Lorsque je tombe sur son JT, il capte directement mon attention. J'ai l'impression d'être à ses côtés, comme s'il parvenait à traverser mon écran de télé."
"Aurélie est toujours la première à vouloir aller danser ou à partir en fou rire. C'est une bonne vivante", racontait en février dernier Eva Roque, l'une des chroniqueuses de C l'hebdo, à Gala. Une version qui semble confirmée par le lien qu'Aurélie Casse a noué avec Charlie, le patron de la Cagnotte, bar, où elle avait ses habitudes lorsqu'elle habitait dans le quartier de Belleville, au point que le tenancier de l'établissement est devenu son ami. "J'adore le rire incroyable de Charlie, disait-elle notamment à Gala. L'entendre, c'est déjà la garantie qu'on va passer une bonne soirée avec mes potes. Et il a les meilleurs rhums arrangés de Paris !" "Je ne veux pas passer pour la grosse pochetronne, mais pour ceux qui aiment les rhums arrangés, les rhums pimentés, c'est la bonne adresse!", confiait-elle également à la Tribune du Dimanche.
Lorsqu'on ouvre le compte X (anciennement Twitter), d'Aurélie Casse, la photo de fond, derrière son portrait, donne tout de suite le ton, c'est une capture du film italien Deux nuits avec Cléopâtre, avec Sofia Loren. Si la journaliste est fan de cinéma italien, elle voue pour la comédienne qu'elle adorerait interviewer, une véritable admiration : "Elle incarne la beauté et la force de caractère des femmes méditerranéennes. La plus belle place au monde, je pense que c'est sur son épaule !" Tous les 22 septembre, date de naissance de l'actrice, Aurélie lui souhaite bon anniversaire sur son réseau social. Un vrai culte.