La situation ne semble pas près de s'arranger. Depuis le 15 novembre dernier, Ayem Nour fait les choux gras pour une affaire très grave. L'ancienne candidate de télé-réalité a été accusée par son ex Vincent Miclet d'avoir enlevé leur fils Ayvin (6 ans). C'est l'homme d'affaires lui-même qui a exposé cette histoire au grand jour, à travers ses réseaux sociaux. "Après avoir déposé mon fils a l'école américaine, sa maman Ayem Nour en complicité avec sa mère Farida l'a enlevé de l'école sans mon consentement et jusqu'à l'heure où je vous parle, nous n'avons aucune nouvelle de Ayvin. Une plainte a été déposée aux autorités marocaines. Mon fils se trouve sur le sol marocain mais je ne sais pas où...", avait-il écrit. Il partageait plus tard la story d'un blogueur qui expliquait les prétendues raisons d'Ayem Nour derrière cet acte, à savoir que Vincent Miclet aurait cessé de lui verser "sa petite pension de 5K avec laquelle elle paye ses dettes et le loyer de sa maison de campagne".
Ayem Nour n'avait alors d'autres choix que de sortir du silence pour livrer sa version des faits. Selon elle, avec son ancien compagnon, ils avaient convenu d'une garde partagée autour du petit Ayvin scolarisé au Maroc depuis la rentrée de septembre. Le 14 novembre dernier, c'est Ayem qui aurait dû récupérer l'enfant mais Vincent Miclet s'y serait opposé. La chroniqueuse de TPMP People s'est tout de même rendue au Maroc avec sa mère, tout en prenant soin de prévenir le papa de son fils. Un message auquel il n'aurait pas répondu. Le lendemain, elle découvrait l'alerte d'enlèvement. Ayem Nour s'est alors rapprochée des autorités locales pour régler cette affaire, ce qui lui a permis de rester auprès d'Ayvin. Problème, elle ne peut pas rentrer avec lui en France où elle souhaite désormais le scolariser. Et pour cause, c'est Vincent Miclet qui est en possession du passeport du garçon.
Du harcèlement, de la méchanceté, de l'intimidation...
Au septième jour de son immobilisation, Ayem Nour a de nouveau pris la parole. "Bon, je n'ai plus le choix, je vais devoir moi aussi me servir des réseaux et laver le linge sale en public malheureusement", s'est-elle désolée en story Instagram ce dimanche 20 novembre. Et de poursuivre en attaquant clairement son ex : "5 enfants, dont un petit dernier... et le seul qu'il affiche sur les réseaux c'est Ayvin. Pourquoi ? Pour m'atteindre moi ! Si ça ce n'est pas du harcèlement, de la méchanceté, de l'intimidation, un moyen de me déstabiliser, et de nous faire du mal alors je ne sais pas ce que c'est. Étrange attitude... Pour un papa soit disant aimant, bravo pour la sécurité de notre enfant, belle mentalité. #jamaissansmonfils #rendlepasseport #rendlecarnetdesanté #harcèlement #séquestration #bloquésaumaroc #perversnarcissique #corrupteur #fausseaccusationd'enlèvement #laissenouspartir".
Rappelons que les autorités marocaines auraient prévenu la jeune maman qu'elle devait entamer d'autres démarches afin de récupérer le passeport de son fils "car ce n'était pas de leur ressort", selon nos informations. Cependant le tribunal a reconnu qu'il n'y avait pas d'enlèvement après qu'Ayem a présenté le document officiel affirmant que la garde de son fils lui était attribuée. Le même tribunal a demandé à Vincent Miclet de bien vouloir rendre le passeport d'Ayvin, mais ne peut pas le contraindre à le faire.