Leur rupture a fait grand bruit dans le monde de la télé-réalité et sur les réseaux sociaux. Benjamin Samat et Alix font désormais route chacun de leur côté, après un an de relation... À quelques jours du lancement de la septième saison des Marseillais, le jeune homme a accepté de répondre aux questions de Purepeople.com. L'occasion pour lui de revenir sur cette séparation "très difficile".
Car en effet, c'est le gros scoop de cette nouvelle saison : l'idylle de Benjamin et Alix a pris fin lors du tournage. Une expérience compliquée que le beau brun de 28 ans n'est pas près d'oublier : "C'était le tournage le plus difficile de toute ma vie. Il a été très compliqué par rapport à Alix, à toutes les histoires qui ont tourné autour", explique-t-il.
Une fois rentré de leur aventure, Benjamin Samat avait déjà pris sa décision, aussi difficile soit-elle : "Quand on est rentré du tournage j'avais décidé de mettre un terme à notre relation. Elle m'a demandé de prendre du temps, de réfléchir. Pour moi c'était terminé mais par respect pour elle, j'ai pris quelques jours de réflexion", raconte-t-il. Malheureusement, rien ne s'est amélioré entre eux. "On s'est disputé pendant ces jours-là et elle a fini par prendre des affaires et monter sur Paris. Depuis, le seul lien qui nous lie ce sont ses affaires qui sont à la maison", déclare Benjamin avant de révéler qu'ils n'ont plus "aucun moyen de communiquer" car ils se sont bloqués mutuellement sur les réseaux sociaux. Et si les fans espèrent encore une réconciliation, Benjamin a été très clair sur le sujet : c'est hors de question.
"Notre rupture est définitive et je pense aussi qu'elle était inévitable. La relation n'était plus saine. Au final, l'aventure a fait ressortir tout ce qui n'allait pas. (...) Cette rupture est celle qui m'a fait le plus mal mais je me dis qu'il y a peut-être quelque chose de mieux qui va arriver. À présent, je me languis qu'elle vienne récupérer ses affaires pour mettre un terme définitif à tout ça. Lorsque ce sera fait, ça ira beaucoup mieux...", conclut-il, résigné à "passer pour le méchant".