Une fois devient décidément coutume, Beyoncé a de nouveau joué les Mères Noël avant l'heure. Moins d'un an après avoir dévoilé un album exceptionnel à la surprise générale de tous, la diva de 33 ans vient de faire un superbe cadeau à ses admirateurs. La superstar a en effet mis en ligne, lundi 24 novembre, en intégralité la totalité de ses clips contenus dans son opus, pour rappel sobrement intitulé Beyoncé.
Une série de vidéos aussi sexy que visuellement renversantes qui a mis la Toile en émoi : 48 heures après avoir fait le buzz avec le déjanté 7/11 dans lequel elle danse en petite culotte léopard sur le balcon de sa chambre d'hôtel avant de twerker peinarde dans sa salle de bain, Queen B. a en effet sorti l'artillerie plus que lourde avec cette armada de clips dans lesquels elle montre toute l'étendue de son sex appeal.
Dans la droite lignée du très moite Partition, dans lequel elle fait la cour à son mari Jay-Z en lingerie sexy, Beyoncé remet le couvert et prouve qu'elle est décidément la boss en matière de prestation caliente. Dans Rocket, la chanteuse apparaît ainsi notamment en très petite tenue et se tord sensuellement pour des scènes qui ne manquent pas de faire grimper les températures. Fessier bien mis en avant, la chanteuse frôle parfois même la nudité totale, suggère délicatement son corps par des draps moulants ou encore par une séquence douche franchement torride.
Mais le spectateur est loin d'être au bout de ses peines : dans Superpower, la star joue en effet la leader sexy d'une émeute et a visiblement décidé de bouder les soutiens-gorge, si bien que sa poitrine menace à tout instant de se dévoiler. Dans Yoncé, la maman de la petite Blue Ivy (à qui un clip tout entier est dédié) se balade en body très échancré et se laisse allègrement lécher par une créature incendiaire. Bref, du Beyoncé en mode ultrabrûlant qui ne manquera pas d'enflammer le web pendant quelques jours voire quelques semaines tant les effets visuels sont nombreux.
Malgré son penchant pour les sous-vêtements affriolants et les attitudes lascives, Beyoncé sait néanmoins faire preuve de retenue. Dans Ghost, la chanteuse se montre ainsi plus sombre mais aussi plus dark, tout comme dans Heaven où elle conte la disparition d'une amie proche. Dans Grown Up, résolument kitsch, c'est un parfum de nostalgie qui s'empare de Queen B. qui n'a pas hésité à fouiller dans les vieux cartons familiaux pour en ressortir des enregistrements d'enfance. Mais celui qui retiendra encore plus toute l'attention, c'est de toute évidence le clip très osé de Haunted, titre phare de la bande originale du très attendu Fifty Shades of Grey. Envoûtante dans un style mêlant l'androgyne et le féminin, Beyoncé place en effet la barre très haut et fait carrément exploser le thermomètre avec un univers fleurant bon le SM aussi mystérieux que glamour. Et la star ne loupe pas l'occasion de se mouvoir encore une fois en très petite tenue, jouant encore de son booty pour captiver le spectateur...