Coup de chaud sur le plateau de C'est que de la télé (C8) mardi 11 février 2020. Valérie Bénaïm recevait ce soir-là Fabien Lecoeuvre, venu défendre son dernier livre intitulé Une chanson dans la tête. En pleine promotion, l'auteur et chroniqueur télé s'est vu interrompre à plusieurs reprises par le déclenchement d'une alarme incendie.
"On fait comme si de rien n'était. Il y a une petite alarme incendie. Mais tout va bien, rassurez-vous, le public ! On ne vous met pas en danger. Tout va bien", s'est empressée de rassurer l'animatrice, quelque peu gênée. Il faut dire que le programme étant en direct, impossible de remédier à cette situation. Très pro, Fabien Lecoeuvre a naturellement continué de décrypter son ouvrage retraçant son parcours et ses multiples rencontres artistiques. "Mais même quand le plafond va tomber, je continuerai à faire ma promotion", a-t-il ironisé.
Ce n'est qu'au bout de plusieurs minutes que le puissant bruit s'est finalement arrêté. Après une page de publicité, Valérie Bénaïm a pu fournir des explications sur l'incident, et c'est très drôle : "Merci aux téléspectateurs qui sont restés malgré tout parce que c'est vrai qu'il y avait le bruit des sirènes, mais rassurez-vous le plateau n'était pas en feu, on a réussi à trouver, bravo les gars, je sais pas où vous êtes, mais bravo d'avoir réussi à éteindre tout ça !", s'est-elle d'abord amusée.
Et de poursuivre : "Si vous êtes avec nous depuis 17h45, vous avez entendu cette fameuse alarme incendie qui a retenti pendant toute l'interview de notre invité. Je l'embrasse. Il a été exceptionnel. Il a réussi à tenir le cap et à répondre à nos questions. On a investigué. Il n'y a plus d'alarme incendie. En fait, c'était dans un studio juste à côté. Vous n'allez jamais le croire. Des équipes étaient en train de tourner 'Le Journal du Hard'. Visiblement, quelqu'un avait le feu au cul ! En vrai, il y a eu des fumigènes qui ont déclenché l'alarme." Une situation improbable qui aura en tout cas valu à Valérie Bénaïm et ses chroniqueurs une bonne partie de rigolade.