Carole Bouquet à Cannes en mai 2011© Abaca
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De retour sur les écrans dans l'oeuvre d'André Téchiné, Impardonnables (en salles le 17 août), Carole Bouquet a été sollicitée pour une interview figurant sur le site de Madame Figaro. L'actrice revient sur ses dix amours, passant en revue ce qui lui tient à coeur, le père de son fils aîné ou encore son métier.
L'entretien de Carole Bouquet démarre par André Téchiné. Le réalisateur des Roseaux sauvages l'a choisie pour donner la réplique à André Dussollier dans Impardonnables, adaptation du roman de Philippe Djian : "Soyons franche, ce qui m'a plus, c'est de travailler avec André. S'il m'avait proposé un autre scénario, je l'aurais accepté. [...] Après, on me répète qu'André me filme bien... Je me sentais juste heureuse d'être là et il est probable que ça se voie."
Carole Bouquet cite Françoise Sagan et Antonin Artaud, admire les tableaux de maître, écoute Bach, Rossini, ou encore Bruce Springsteen. Mais elle aborde aussi l'amour qu'elle porte pour Jean-Pierre Rassam, producteur décédé en 1985 et père de son fils Dimitri Rassam : "Cette passion ne m'a pas quittée. J'ai eu la chance incroyable de rencontrer cet homme-là quand j'avais 20 ans. Jean-Pierre était un seigneur extravagant, flamboyant et très classique en même temps. Il incarnait l'intelligence et la drôlerie, bref, la vie en personne. Aujourd'hui, lorsque je pense à lui, je gomme toute souffrance, je ne me souviens plus que des rires et de mon éblouissement."
Une superbe déclaration envers cet homme, avec qui la comédienne a eu son fils aîné Dimitri, aujourd'hui producteur de films et qui vient d'être papa d'une petite Dacha depuis le mois de juin, plongeant Carole Bouquet dans un grand bonheur.
Dans son carnet rempli de passion, Carole Bouquet évoque aussi Izia Higelin, fille de Jacques Higelin, chanteuse et désormais actrice qui partage l'affiche avec elle de Mauvaise Fille. La demoiselle joue le premier rôle de cette adaptation cinématographique du roman de Justine Lévy par son compagnon Patrick Mille : "Elle m'y a époustouflée par sa force, son invention, sa liberté. Si Izia en a l'envie, croyez-moi, elle fera ce qu'elle voudra au cinéma."
Du Septième Art et de son métier plus précisément, Carole Bouquet dira alors :" J'éprouve de l'amour pour lui depuis le premier jour et Cet obscur objet du désir de Luis Buñuel, que j'ai joué malgré ma terreur et ma souffrance."
Retrouvez l'intégralité de l'entretien sur le site de Madame Figaro.
L'entretien de Carole Bouquet démarre par André Téchiné. Le réalisateur des Roseaux sauvages l'a choisie pour donner la réplique à André Dussollier dans Impardonnables, adaptation du roman de Philippe Djian : "Soyons franche, ce qui m'a plus, c'est de travailler avec André. S'il m'avait proposé un autre scénario, je l'aurais accepté. [...] Après, on me répète qu'André me filme bien... Je me sentais juste heureuse d'être là et il est probable que ça se voie."
Carole Bouquet cite Françoise Sagan et Antonin Artaud, admire les tableaux de maître, écoute Bach, Rossini, ou encore Bruce Springsteen. Mais elle aborde aussi l'amour qu'elle porte pour Jean-Pierre Rassam, producteur décédé en 1985 et père de son fils Dimitri Rassam : "Cette passion ne m'a pas quittée. J'ai eu la chance incroyable de rencontrer cet homme-là quand j'avais 20 ans. Jean-Pierre était un seigneur extravagant, flamboyant et très classique en même temps. Il incarnait l'intelligence et la drôlerie, bref, la vie en personne. Aujourd'hui, lorsque je pense à lui, je gomme toute souffrance, je ne me souviens plus que des rires et de mon éblouissement."
Une superbe déclaration envers cet homme, avec qui la comédienne a eu son fils aîné Dimitri, aujourd'hui producteur de films et qui vient d'être papa d'une petite Dacha depuis le mois de juin, plongeant Carole Bouquet dans un grand bonheur.
Dans son carnet rempli de passion, Carole Bouquet évoque aussi Izia Higelin, fille de Jacques Higelin, chanteuse et désormais actrice qui partage l'affiche avec elle de Mauvaise Fille. La demoiselle joue le premier rôle de cette adaptation cinématographique du roman de Justine Lévy par son compagnon Patrick Mille : "Elle m'y a époustouflée par sa force, son invention, sa liberté. Si Izia en a l'envie, croyez-moi, elle fera ce qu'elle voudra au cinéma."
Du Septième Art et de son métier plus précisément, Carole Bouquet dira alors :" J'éprouve de l'amour pour lui depuis le premier jour et Cet obscur objet du désir de Luis Buñuel, que j'ai joué malgré ma terreur et ma souffrance."
Retrouvez l'intégralité de l'entretien sur le site de Madame Figaro.