Caroline de Monaco a fait une heureuse le 16 septembre dernier. La princesse était en compagnie de sa fille Alexandra, 24 ans, née de ses amours avec Ernst-Auguste de Hanovre, à Paris. En fans de vintage et de décoration d'époque, mère et fille se sont baladées au coeur des puces de Saint-Ouen. À la recherche de bibelots et de belles pièces, Caroline de Monaco a fait son entrée dans une boutique spécialisée dans les arts de la table entre les années 1930 et 1960 pour le plus grand plaisir de la vendeuse, Véronique Souliman, qui n'en a pas cru ses yeux.
Cette dernière a accordé une interview au site spécialisé en royauté Point de vue, racontant sa surprise de voir débarquer un tel modèle à ses yeux : "Je l'ai reconnue tout de suite. Aux Puces, nous voyons très régulièrement des personnalités et nous essayons de ne pas les importuner. Mais la princesse de Hanovre représente tant pour les femmes de ma génération que je me suis approchée d'elle."
Véronique Souliman, qui s'est permise de poster une photo sur les réseaux sociaux avec l'accord de la princesse, a décrit ce moment hors du temps qu'elle a vécu avec la soeur du prince Albert II : "Elle s'est promenée dans la boutique et a fait quelques achats. [...] Elle a semblé très intéressée et s'est montrée souriante, accessible. [...] Nous sommes pratiquement de la même génération et pour toutes les femmes de mon époque, elle est un modèle d'élégance et de discrétion. Elle inspire le respect. Pas seulement par son titre princier, mais par ce qu'elle dégage. C'est un peu notre grande soeur à toutes."
Si elle appartient à la famille Grimaldi, la princesse Caroline de Monaco n'en est pas moins une femme et une maman comme les autres. Quand son emploi du temps le lui permet, elle s'offre des moments privilégiés avec ses enfants. L'un d'eux pourrait d'ailleurs prochainement quitter le Rocher.
Beatrice Borromeo, femme de Pierre Casiraghi, le fils que Caroline de Monaco a eu avec le regretté Stefano Casiraghi, a indiqué à Libération ne pas vouloir vivre éternellement sur le Rocher : "À Monte-Carlo, ville extrêmement sûre, on peut facilement oublier le reste du monde, mais nous n'y resterons pas toujours, je ne veux pas faire grandir nos enfants dans une bulle." Reste à savoir quand ce départ aura lieu et si ce dernier sera bel et bien confirmé.