Céline Dion installée dans une villa près d’un artiste bien connu en Europe : Ce dernier révèle les achats exubérants qu’elle a faits

Ce n’est pas la première fois que Philippe Geluck prend la parole pour évoquer son histoire commune avec Céline Dion. Il y a quelques jours, sur le plateau de L'essentiel chez Labro sur C8, le célèbre dessinateur belge a expliqué que la chanteuse québécoise “a été (sa) voisine”, durant une courte période, mais visiblement, tout ne s’est pas très bien passé pour elle. Forcée de fuir sa maison à cause d'événements inexplicables, l’artiste de 56 ans est venue en Belgique pour le travail. “À l'époque où nous habitions au sud de Bruxelles, dans le Brabant Wallon, on nous a annoncé un jour qu'elle viendrait habiter dans le village pendant qu'elle répétait son spectacle de Las Vegas avec le metteur en scène belge qui s'appelle Franco Dragon qui a fait des mises en scène pour le cirque du Soleil”, expliquait-il, avant d’ajouter : “Elle devait y résider trois mois et ça a duré dix jours, parce qu'elle ressentait des mauvaises ondes, et on s'en est rendu compte.”

Ce mardi 17 décembre, Philippe Geluck a de nouveau été interrogé sur cette courte période pendant laquelle il s’est retrouvé voisin de celle qui a passé un séjour luxueux avec son fils René-Charles en Arabie Saoudite. “Elle a plutôt été ma voisine”, s’amuse l’artiste belge de 70 ans  sur le plateau de Télématin, avant de revenir sur les raisons de la venue de la diva québécoise en Belgique : “Son spectacle pour Las Vegas était mis en scène par Franco Dragone. Elle est venue habiter pas loin de chez lui, où il voulait débuter les répétitions et son équipe, à Céline, a trouvé une maison somptueuse à 400 mètres de chez moi.”

La journaliste demande alors au créateur du Chat, marié depuis 48 ans à Dany, s’il a eu la chance de croiser Céline Dion dans la rue ou à la supérette du coin. “Non, mais nous avons eu le même fournisseur d’appareils électroménagers parce qu’elle a fait installer quatre télévisions écran géant dans la maison, c’est un minimum, et le type, Gaston, que je salue, m’a dit : ‘Monsieur Geluck, une vente comme ça, un matin, un vendeur d’électroménagers s’en souvient toute sa vie’”, se remémorer le dessinateur belge.