Les braconniers n'ont qu'à bien se tenir. Charlene de Monaco vient à la rescousse des rhinocéros, dont l'existence est menacée, comme elle l'a annoncé en prenant la pose pour le photographe Christian Sperka. Sur son compte Instagram, l'épouse d'Albert de Monaco a partagé le résultat de leur collaboration : plusieurs clichés poignants, capturés dans la nature sauvage, sur lesquels la jeune souveraine prouve son engagement pour la cause animale.
En combinaison kaki et divers vêtements de terrain au motif treillis, Charlene de Monaco dénonce les pratiques barbares qui déciment les espèces, notamment en Afrique du Sud. Une cause qui la touche d'autant plus qu'elle a beaucoup pratiqué la natation dans la région, elle qui est née et a grandi non loin de là, à Bulawayo, au Zimbabwe. "Merci de ne pas nous oublier", pouvait-on lire, déjà, sur une affiche préventive mettant en scène l'ancienne sportive auprès d'un rhinocéros.
Comme le rappelle la WWF - le Fonds mondial pour la nature -, le braconnage est monnaie courante en Afrique du Sud. Les rhinocéros sont chassés pour leurs cornes, dont la valeur dépasse désormais celle de l'or ou de la cocaïne, et quatre à cinq espèces sont vulnérables ou en danger critique. Voilà pourquoi Charlene de Monaco tient tant à sensibiliser le monde à propos de cette intolérable sauvagerie.
Nul doute qu'à la maison, Charlene de Monaco évoque la faune et la flore avec ses jumeaux de 6 ans, nés en 2014. "Jacques est un peu plus timide et un peu plus calme, mais il peut aussi arriver avec des choses très drôles. C'est un grand observateur et il adore évaluer la situation. Puis il y va, expliquait leur père, le prince Albert, au magazine People en mars dernier. Gabriella est un peu plus extravertie, et pour sûr elle a le don de bavarder. C'est juste un personnage qui aime danser et chanter. Elle n'a aucun scrupule à être devant les gens." On sait qui prendra la relève des grands discours et de la cause animale...