En tant que roi de l'access prime time avec son talk show Touche pas à mon poste (C8), Cyril Hanouna est l'un des animateurs les plus exposés du PAF. Travailleur acharné, producteur avisé, trublion assumé, l'homme de télévision de 42 ans ne recule devant aucun défi... Et surtout pas devant celui de rendre sa famille toujours plus fière de lui.
Interrogé par David Abiker pour GQ, Cyril Hanouna a accepté de lever en partie le voile sur sa vie de famille, lui qui a pour habitude d'être très discret sur ce sujet. "J'ai toujours été très proche de ma famille, la mienne est très présente (...) Mais j'ai du mal à me confier sur ma vie privée. A chaque fois ça m'émeut un peu. C'est vrai que j'ai eu des relations compliquées avec mes parents. Mon père est vachement carré", a-t-il commencé. Et de poursuivre sur son père, qui aurait aimé qu'il fasse autre chose que de la télé : "Il voulait que je fasse médecine, il en a fait un drame. Depuis que j'ai 10 ans, mon père veut que je sois médecin. Si demain je lui disais que j'arrête tout pour devenir médecin, il serait le plus heureux du monde. Sans déconner."
Toujours à propos de son père, le trublion de C8 a confié que ce dernier était, malgré tout, fan de TPMP : "Ça le fait marrer ! Le problème c'est qu'ils sont hyper premier degré, mes parents. Par exemple, quand il y a un mauvais article sur moi, ils écrivent au journal. Un jour mon père a écrit aux Inrocks ! A Christophe Conte. Ils sont à fond."
De son côté, Cyril Hanouna ne cache pas qu'il essaie d'être un papa cool avec ses enfants, Bianca (5 ans) et Lino (4 ans). "J'ai l'impression que mes enfants me voient plus comme un frère que comme leur papa. Je te jure ! J'ai une fille et un garçon. On met de la musique à fond et on danse dans leur chambre", a-t-il révélé. Et d'assumer le fait de ne pas reproduire le schéma qu'il a connu avec son propre père : "Je ne fais pas du tout pareil ! J'ai eu un rendez-vous l'autre jour pour les inscrire dans une école bilingue. J'étais plus angoissé que si j'avais rendez-vous avec un patron. J'étais devant la directrice, elle me posait des questions, je n'étais pas bien."
Une interview à retrouver en intégralité dans GQ, actuellement en kiosque.