Danièle Gilbert a publié son autobiographie, Il faut que je vous raconte..., en mars 2018 chez Talent Éditions. Pendant plus de douze ans, elle a fait d'excellentes audiences sur la une juste avant le 13h de son ami Yves Mourousi (dont elle dévoile dans le livre la "belle histoire" avec David Bowie) avant d'être éjectée sans ménagement, selon elle, par le nouveau pouvoir en place, à savoir par François Mitterrand. Depuis 1982, elle n'a donc plus de revenus fixes et, à 75 ans, elle continue de travailler...
Dans une interview accordée à VSD, en kiosques ce jeudi 24 mai 2018, Danièle Gilbert raconte bien volontiers ce qu'il en est de sa situation financière. À son âge, elle pourrait jouir d'une retraite tranquille, ce n'est pas le cas. "Ça fait vingt-sept ans que je suis avec mon compagnon [Patrick Semana, NDLR], mais moi, je n'ai pas de sous. Je ne suis pas mariée, pas pacsée, pas protégée..." Pour autant, Danièle Gilbert ne se plaint absolument pas : "De toute façon, même si j'avais assez d'argent, je travaillerais. La semaine dernière, j'ai animé la foire de Tarbes et le concours Super Mamie. On a voulu dire que le travail était une souffrance et qu'il fallait du temps libre, mais, franchement, l'épanouissement d'un être passe aussi par son boulot."
Dans cette longue interview, entre deux souvenirs de sa grande époque avec ses émissions cultes comme Midi Première, Danièle Gilbert, qui était aussi célèbre pour la longueur de ses jambes, affirme ne pas regretter D'avoir posé dans le magazine de charme Lui en 1988 : "Pas du tout ! J'ai été la meilleure vente du journal ! Ils ont fait des retirages. J'ai gagné un peu plus de 50 000 francs, ce qui correspond à 12 000 euros environ. Mais je n'ai pas pensé à renégocier, ce n'est pas dans mes gènes."