Après avoir dévoilé des photos d'elle sur les réseaux sociaux alors qu'elle était encore étudiante et blonde, Dita Von Teese s'affiche plus glamour et sexy que jamais en couverture du troisième numéro du magazine Bwatt.
Ambassadrice du glamour rétro, la strip-teaseuse burlesque qui s'était produite au Crazy Horse ne déçoit pas sur le papier glacé. Le regard félin, moulée dans un corset qui lui fait une taille de guêpe et qui couvre à peine sa poitrine pulpeuse, celle qui a récemment fait sensation au Festival de Cannes 2013 dévoile à 40 ans un physique parfait. Et pourtant, comme elle le révèle dans l'interview accordée au magazine, Dita Von Teese n'est pas si sûre d'elle : "Comme tout le monde, je n'ai pas toujours confiance en moi, j'ai les mêmes doutes que les autres, j'essaie juste de m'aimer et d'accepter ce que je n'apprécie pas chez moi et je pense qu'il est important que toutes les femmes aient conscience que nous avons toutes les mêmes sentiments", a-t-elle déclaré.
Maîtresse de son image, contrairement à de nombreuses stars et starlettes, Dita Von Teese peut se targuer de se préparer seule : "Je réalise mon propre maquillage et mes propres coiffures lorsque je me rends sur les tapis rouges comme au Festival de Cannes, alors qu'à côté de moi se tiennent des actrices très connues qui ont passé la journée entière à se préparer avec une équipe dédiée. Si je fais tout moi-même, vous pouvez aussi le faire", clame-t-elle alors.
Quadragénaire depuis quelques mois, la jolie brune n'a pas l'intension de raccrocher ses corsets. Mieux, elle souhaite faire évoluer le burlesque : "Il y a environ dix ans, je pensais vraiment que tout en recréant des shows du passé, il était intéressant de faire évoluer le burlesque. [...] C'est une chose sur laquelle je mets vraiment l'accent. Ce que je tente de réaliser à présent est nouveau pour moi, je souhaite insérer de la nouvelle technologie dans mes spectacles afin qu'ils soient plus somptueux et que ce soit du jamais vu dans le burlesque." Une belle promesse qui permettra sans nul doute à la belle Dita de faire encore salle comble.