Flavie Flament à la conférence de rentrée de RTL à Paris, le 4 septembre 2014.© BestImage
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Disparue du petit écran depuis plusieurs années maintenant, Flavie Flament continue à faire le bonheur des auditeurs de la radio RTL. L'ex-animatrice des grandes soirées de divertissement de TF1 s'est confiée au Parisien dans son édition du lundi 24 novembre révélant l'une de ses passions, aussi atypique qu'insoupçonnée : la taxidermie, une technique qui suscite souvent l'indignation de certains défenseurs de la cause animale...
Chez elle, les animaux empaillés font comme partie du décor. Parmi ses plus belles "pièces", un ibis sacré ou une louve arctique. "J'aime tout ce qui est un peu étrange. La taxidermie continue de faire vivre un animal en le sublimant grâce à un artiste. C'est mon côté bizarre", admet-elle volontiers.
Cette passion pour les animaux dans leur version post mortem lui est venue à la suite de la visite d'un château qui abritait une galerie de trophées. "Je suis alors tombée sur un paon naturalisé et il y avait quelque chose de féérique, de merveilleux", assure-t-elle.
Un goût pour le morbide ? Un besoin de noirceur dans son environnement ? Rien de tout cela. Pour Flavie Flament, la taxidermie relève surtout d'une envie de "renaissance". "À la maison, c'est très joyeux. Mais je suis fascinée par la résilience, cette pensée qu'à un moment, on peut se relever et marcher droit. Il y a peut-être une résonance chez moi. Je préfère voir les animaux vivants mais ceux qui sont naturalisés sont beaux, la matière est sublime et ce travail artistique m'impressionne", insiste avec conviction l'animatrice d'On est fait pour s'entendre, chaque jour à 15h sur RTL.
Comme traumatisée par ses expériences télévisuelles (elle révélait l'an dernier que Nice People était une expérience terrible), Flavie s'épanouit aujourd'hui sur les ondes. Comme elle le confiait au Parisien à l'époque, la maman d'Antoine (19 ans), fils de Bernard Flament, et d'Enzo (11 ans), fils de Benjamin Castaldi, n'envisage un retour à l'écran qu'à la condition d'un concept exceptionnel : "Si le projet est magnifique, je pourrais repartir sur une grosse exposition. Mais je ne suis pas persuadée de correspondre aux envies de TF1 ou de M6."
Joachim Ohnona
Chez elle, les animaux empaillés font comme partie du décor. Parmi ses plus belles "pièces", un ibis sacré ou une louve arctique. "J'aime tout ce qui est un peu étrange. La taxidermie continue de faire vivre un animal en le sublimant grâce à un artiste. C'est mon côté bizarre", admet-elle volontiers.
Cette passion pour les animaux dans leur version post mortem lui est venue à la suite de la visite d'un château qui abritait une galerie de trophées. "Je suis alors tombée sur un paon naturalisé et il y avait quelque chose de féérique, de merveilleux", assure-t-elle.
Un goût pour le morbide ? Un besoin de noirceur dans son environnement ? Rien de tout cela. Pour Flavie Flament, la taxidermie relève surtout d'une envie de "renaissance". "À la maison, c'est très joyeux. Mais je suis fascinée par la résilience, cette pensée qu'à un moment, on peut se relever et marcher droit. Il y a peut-être une résonance chez moi. Je préfère voir les animaux vivants mais ceux qui sont naturalisés sont beaux, la matière est sublime et ce travail artistique m'impressionne", insiste avec conviction l'animatrice d'On est fait pour s'entendre, chaque jour à 15h sur RTL.
Comme traumatisée par ses expériences télévisuelles (elle révélait l'an dernier que Nice People était une expérience terrible), Flavie s'épanouit aujourd'hui sur les ondes. Comme elle le confiait au Parisien à l'époque, la maman d'Antoine (19 ans), fils de Bernard Flament, et d'Enzo (11 ans), fils de Benjamin Castaldi, n'envisage un retour à l'écran qu'à la condition d'un concept exceptionnel : "Si le projet est magnifique, je pourrais repartir sur une grosse exposition. Mais je ne suis pas persuadée de correspondre aux envies de TF1 ou de M6."
Joachim Ohnona