Alors qu'il est ce soir à 21h05 sur W9 au coeur d'un documentaire retraçant sa lutte contre son cancer des poumons, Florent Pagny a récemment publié aux éditions Fayard un livre autobiographique intitulé Pagny par Florent, dans lequel il se confie sur de nombreux sujets personnels dont son mariage avec Azucena, la mère de ses enfants Inca (27 ans) et Ael (34 ans). On réapprend notamment que c'est à l'occasion d'une interview qu'il donnait dans le cadre de la sortie de son single Là où je t'emmènerai en 2006, qu'il annonçait son intention de demander la main de sa compagne argentine. "Une façon originale de demander sa fiancée en mariage !", s'amuse-t-il dans cet ouvrage, lui qui a donc, une fois de plus, "parlé sans filtres dans les médias".
La cérémonie aura donc rapidement lieu par la suite. "Une noce intime et ultra joyeuse", décrit-il dans son livre, avant de préciser que c'est son célèbre ami Kad Merad, qu'il avait alors choisi comme témoin, qui emmena "Azu" à la mairie "dans sa voiture de collection". La belle brune était alors "vêtue de turquoise, sa couleur fétiche". Il raconte ensuite que "le maire et son équipe" avaient tous prévu, afin qu'il n'y ait ni "curieux, badauds, photographes et paparazzis" pour gâcher la fête. Un dispositif toutefois inutile puisqu'il n'y avait "personne"... Enfin, ils n'étaient que sept. Ce qui était pour le coup voulu, puisque le couple n'avait invité personne, explique Florent Pagny.
La fête est belle
Un mariage en petit comité donc, qui s'est terminé chez eux, aux cotés de "quelques amis", avec "un déjeuner de mariage simple et gai". Mais l'ex-coach de The Voice avait tout prévu. Puisqu'il organisera "quelques mois plus tard" une grosse fête de mariage au château de Groussay (dans les Yvelines) et à laquelle Azucena s'était rendue au bras de son père "dans une robe de princesse rock bleu turquoise". Kad Merad était à nouveau de la partie, prêt à faire le show : "Il nous orchestre, dans le théâtre de verdure et sous un beau soleil, un office parfaitement loufoque, inventant pour nous marier un personnage mi-prêtre mi-gourou, l'une de ces figures improbables dont il a le secret."
"Une célébration peu catholique, mais très drôle", se souvient Florent Pagny dans ce livre, avant de conclure : "Nous nous marions donc sous la joie. La fête est belle. Tous nos amis et notre famille proche sont là. Que demander de plus ?" Un beau souvenir !