Actuellement à l'affiche de C'est beau la vie quand on y pense, Gérard Jugnot la croque à pleines dents lui, la vie. Tellement que le 25 juin 2016, il accepté de dire oui, pour la vie, à Patricia Campi, la jolie jeune femme blonde qui partage sa vie depuis quelque temps. Dans une interview accordée à Faustine Bollaert pour Femme Actuelle, l'acteur de 65 ans se confie sur ce choix de se marier si tard. "'Mariage plus vieux, mariage heureux', s'amuse l'intéressé. J'avais soumis l'idée à mon fils [Arthur Jugnot, NDLR], qui m'a dit : 'T'as jamais fait cette connerie, vas-y !' J'ai suivi son conseil et j'en suis très heureux."
Effectivement, Gérard Jugnot est comblé et n'a d'yeux que pour sa dulcinée. "Je ne regarde pas les autres femmes. Je suis apaisé", lâche-t-il quand l'animatrice du Meilleur Pâtissier sur M6 lui demande s'il se fait draguer maintenant qu'il est marié.
Le comédien s'est également épanché sur les sites de rencontre, dont bon nombre laissent miroiter à leurs utilisateurs qu'ils peuvent y trouver le grand amour qu'ils n'auraient jamais croisé dans la rue. Selon Gérard Jugnot, c'est inquiétant. Ces applications comme Tinder – qui est citée dans la question – sont le syndrome de ces nouveaux perturbateurs sociaux qui jouent la carte du sexe plus que du sentimental – à l'instar de l'industrie porno également. Ce qui fait dire à Jugnot : "Quant j'étais môme, pour réussir à voir un nichon, il fallait chercher. Maintenant on a accès d'un clic à tout le système interne et externe de la femme. L'image de la sexualité véhiculée par la pornographie peut être traumatisante pour les enfants. Ça n'a rien à voir avec la vraie vie, s'insurge-t-il. Si, au risque de vous paraître grossier, si je disais à une jeune femme : 'tu la sens ma grosse...', je me prendrais une tarte dans la tronche."
À Faustine Bollaert de le pousser un peu plus loin, en arguant qu'il pourrait être vu comme un homme vieux jeu et pas dans l'air du temps. "Je suis un vieux con et j'assume !", conclut l'acteur, droit dans ses bottes.
Interview à retrouver en intégralité dans Femme Actuelle, hebdomadaire du 22 avril 2017.