Marie-France ne se remet pas de la mise en détention de son fils Giuseppe Polimeno (45 ans), révélé par l'émission Qui veut épouser mon fils ? (TF1). Incarcéré à Grasse depuis le 4 juillet dernier (afin de ne pas mettre de "pression sur les témoins"), le célèbre macho a écopé lundi 1er août de deux ans de prison, dont un an avec sursis.
Très remontée, Marie-France a déclaré à nos confrères de Public : "En tant que maman, je suis évidemment peinée mais surtout en colère ! Giuseppe ne mérite pas ça. La justice s'est montrée trop sévère à son égard. Nabilla est libre après avoir poignardé son conjoint. Mon fils, quant à lui, se retrouve derrière les barreaux pour une banale querelle de couple. C'est injuste !" Et d'ajouter lorsque le journaliste de Public lui fait remarquer que la violence et le harcèlement n'ont rien de "banal" : "Je n'ai pas beaucoup fréquenté cette femme. Elle est tombée enceinte moins de deux mois après avoir rencontré mon fils. Cela m'a semblé suspect."
Enfin, après avoir affirmé qu'elle avait fait toutes les démarches administratives pour pouvoir rendre visite à Giuseppe, Marie-France a assuré qu'elle veillait toujours aux intérêts de son fils. "Je suis certaine que mon fils va rebondir. Il est en négociation avec une chaîne de télévision italienne qui souhaite en faire le héros d'une télé-réalité, l'année prochaine. Je dois me rendre à Rome ces prochains jours pour finaliser les contrats. Vous n'avez pas fini d'entendre parler de Giuseppe !", a-t-elle lâché.
Concernant sa sentence, c'est lundi 1er août que Giuseppe Polimeno a finalement été condamné par le tribunal correctionnel de Grasse (Alpes-Maritimes) à deux ans de prison, dont un avec sursis, et d'un maintien en détention. Il doit également verser 4 000 euros de dommages et intérêts à son ex-compagne Hinda, avec qui il a eu un enfant. Cette dernière avait porté plainte pour appels téléphoniques malveillants, menaces de mort réitérées, harcèlement et violences...
Pour rappel, Giuseppe avait déjà été condamné deux fois pour violences conjugales, en 2000 et en 2014.