Récemment, Iris Mittenaere a sauté le pas de la médecine esthétique. L'ancienne Miss France a en effet décidé de se débarrasser de ses complexes au visage en s'offrant un traitement au laser. Et si elle en avait déjà parlé à ses abonnés, la jolie brune de 28 ans n'avait pas encore dévoilé les traces laissées par cette pratique. Du moins, jusqu'à ce jeudi 25 février 2021.
"Vous avez compris, je me mets en noir et blanc parce que ma peau est rouge après le laser, mais comme ça vous intrigue, je vais vous montrer ce que ça fait...", a-t-elle écrit via sa story Instagram. Chose promise, chose due ! Quelques minutes plus tard, Iris Mittenaere a donc dévoilé son visage marqué par d'importantes plaques rouges. "Je décide de ne pas vous cacher l'après car vous me l'avez demandé (en close up vous voyez bien les carrés dus à l'embout du laser). Ça reste rouge 24h mais avec le masque je continue à faire ma vie car les parties les plus rouges sont celles que je vous montre ici, soit les joues et le menton", a-t-elle précisé.
La chérie de Diego El Glaoui a par la suite pris le temps d'expliquer les raisons qui l'ont poussé à suivre un tel traitement. "Je vous avoue que normalement, je ne vous aurais pas partagé l'après... Mais j'ai envie d'être transparente et sincère. Si vous me connaissez, vous savez que j'ai des cicatrices sur les joues et le menton car j'ai encore des boutons de temps en temps. Il m'a fallu du temps pour le dire déjà. Et ensuite, j'ai des petites tâches dues au soleil et quelques petites cicatrices en 'trou' sur mes joues qui m'embêtent... Alors, j'ai eu envie de tester un truc, je n'en suis qu'à ma deuxième séance alors j'attends de voir vraiment des résultats avant de vous dire ce que j'en pense", a-t-elle confié.
En attendant d'en dire davantage, Iris Mitteneare a d'ores et déjà été questionnée sur le déroulement de ces fameuses séances au laser. "Ça ne fait pas mal du tout car on pose la crème anesthésiante avant et après ça chauffe un peu mais c'est tout", a-t-elle donc indiqué, rappelant toutefois qu'il s'agissait d'un "acte médical" pour lequel il fallait "bien choisir vos praticiens".