C'est un désastre qui ne sortira jamais vraiment de leurs esprits. Dans la nuit du dimanche 6 au lundi 7 novembre 2022, Iris Mittenaere et son fiancé Diego El Glaoui ont connu l'horreur. Alors qu'elle avait prévu de passer une soirée télé bouillotte à l'hôtel avec son chéri, la reine de beauté a été confrontée à un incendie d'une puissance fulgurante, comme elle l'a expliqué, une fois tirée d'affaire, sur les réseaux sociaux. C'est l'immeuble en face de celui où le couple résidait qui a été touché.
Le sentiment que tout peut basculer d'un coup
En pleine nuit, Iris Mittenaere et Diego El Glaoui ont entendu des bruits de plus en plus forts. En ouvrant les rideaux, ils ont vu la fumée et les flammes. Le chaos. "Le coeur qui s'accélère et le sentiment que tout peut basculer d'un coup, écrit le jeune homme sur son compte Instagram. Toutes les images que je vous partage ont été filmées après avoir mis Iris en sécurité. Nous sommes sortis en 10 secondes après avoir vu l'incendie en enfilant simplement en jean et un tee-shirt. Nous sommes même les premiers à être sortis dans la rue et avons déclenché l'alarme à incendie afin d'être certains que tous nos voisins évacuent également."
Tous ces morceaux enflammés tombaient sur notre terrasse
Et dire qu'à quelques heures de ce ravage, Iris Mittenaere annonçait qu'elle ne se sentait pas bien. C'est le soulagement, désormais, pour la meneuse de revue, 29 ans, qui est seine et sauve... après avoir craint le pire, notamment pour son futur époux. Après avoir mis sa douce en sécurité, loin de l'immeuble, Diego El Glaoui est effectivement retourné dans la chambre qu'ils louaient. "Je suis remonté dans l'appartement (sans prendre l'ascenseur évidemment) récupérer nos passeports, après avoir pris conscience que notre immeuble n'était pas affecté par l'incendie, raconte-t-il. Ma crainte était que l'incendie se propage à notre immeuble avec tous ces morceaux enflammés qui tombaient sur notre terrasse, et qui pouvaient facilement déclencher un incendie sur le mobilier d'extérieur." Plus de peur que de mal, certes, mais les images défilent encore en boucle dans leurs têtes...