Samedi soir avaient lieu les NRJ Music Awards à Cannes. Et comme le veut la tradition, une pluie de people a fait le déplacement pour faire le show sur le tapis rouge. Iris Mittenaere était notamment invitée pour accueillir en direct les nommés de la soirée mais aussi pour remettre un prix sur scène. Dans une sublime robe moulante dorée, l'ancienne Miss est bien loin d'être passée inaperçue. Elle était bien sûr accompagnée pour l'occasion de son complice Diego El Glaoui, lequel est apparu un bras dans le plâtre.
En effet, quelques heures seulement avant la cérémonie, Iris Mittenaere a révélé que son cher et tendre avait été victime d'un accident. Sans rentrer dans les détails, elle expliquait que ce n'était pas bien méchant mais que Diego devait avoir son avant-bras droit immobilisé. Et mardi 23 novembre 2021, le charmant influenceur s'est saisi de sa story Instagram pour se plaindre d'avoir été bien mal soigné. "Certains d'entre vous l'ont remarqué, je me suis blessé lors de notre passage à Cannes. Au Centre hospitalier de Cannes, j'ai été très surpris qu'on me mette un énorme plâtre comme on faisait dans une époque que je pensais révolue, qui pèse une tonne, et qui clairement ne m'empêchait pas de bouger les doigts car un plâtre met deux jours à sécher donc ça bouge légèrement avant de se figer réellement", a-t-il d'abord confié.
Ma prise en charge n'était pas solide
Son intuition a ensuite poussé Diego El Glaoui a obtenir un deuxième avis. "Arrivé à Paris, je suis allé consulter un service plus sérieux car je sentais que ma prise en charge à Cannes n'était pas solide. Ils m'ont tout de suite demandé dans 'quel pays' j'avais eu mon accident. En effet, la vue du plâtre et du traitement reçu les a laissé penser que j'avais été soigné dans un pays très en retard sur ce qui se fait aujourd'hui. J'ai bien eu raison d'aller vérifier tout ça...", a-t-il indiqué. D'autant plus que Diego aurait pu passer sur le billard à cause d'un "diagnostique à l'arrache". "À Cannes, ils disaient que je devrais sûrement me faire opérer. À Paris, le chirurgien m'a dit que ça ne serait pas du tout utile..."
Il se réjouit désormais d'avoir "une belle attelle sur-mesure, très légère, qui me maintient beaucoup mieux la partie à immobiliser, tout en me permettant une bonne mobilité de la partie qui doit rester mobile". Tout est bien qui finit bien !