Le réalisateur Jean-Pierre Mocky vient de réaliser un nouveau film, Le Cabanon rose, tiré d'un fait divers et avec Jean-Marie Bigard. L'occasion pour lui de se confier à France dimanche sur sa vie et... les femmes évidemment !
Avec Patricia Barzyk, ancienne Miss France 1980, la relation n'a jamais été simple. Dans France Dimanche, il dit toutefois clairement qu'il est séparé : "Je vis seul avec Titi, mon chien." Il y a deux ans, il s'était confié sur elle dans une interview pour Closer : "Patricia, je l'adore. Mais elle est dans son appartement et elle a toujours conservé son indépendance. Dans l'absolu, on est toujours ensemble, mais ce n'est pas la collaboration que je recherche."
Ce papa de trois filles et deux garçons ("officiels" précise-t-il) n'est pas complètement seul chez lui. En effet, l'un de ses enfants, Olivia, vient travailler chez lui la journée : "Je vous présente Olivia Mokiejewski, née en 1977, que j'ai eu avec Marisa Muxen. Elle travaille avec Laurent Delahousse et réalise des documentaires animaliers."
Le parcours d'Olivia Mokiejewski ? Le Monde lui a consacré un beau portrait, publié en 2013 : "Un DEA d'économie, des premiers postes sur la chaîne LCI, des débuts au siège new-yorkais de l'AFP, un passage à Investir : le parcours de journaliste économique semblait tout tracé. Sauf qu'Olivia Mokiejewski a vite vu qu'elle n'avait pas choisi ce métier 'pour commenter le prix du mètre carré à Paris'. Changement de programme. A la rédaction en chef de 'Vu du Ciel', l'émission de Yann Arthus-Bertrand, à la réalisation des 'Orphelins du paradis', une série consacrée aux centres de réhabilitation pour animaux sauvages blessés et abandonnés, la jeune femme s'est sentie plus dans son élément. Une manière de faire rimer sa profession avec ses convictions." Sa page Facebook montre ses engagements, une jeune femme passionnée et passionnante !
La journaliste de France dimanche ne manquera pas d'interroger Jean-Pierre Mocky également sur cette histoire surprenante : son mariage à... 13 ans. Son père avait dû le "vieillir" pour qu'il ait le droit de prendre le bateau et partir en Algérie, une façon de le protéger pendant la guerre car il était juif. Le jeune Jean-Pierre rencontre alors la fille d'un général, "qui se promenait toute nue dans son jardin" : "D'après mes papiers, j'avais 17 ans et j'ai dû l'épouser parce qu'elle était enceinte. Notre mariage a duré trois ans. Et aujourd'hui, mon fils de 69 ans paraît plus vieux que moi !" Sacré Mister Mocky...
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine France Dimanche du 8 avril