Ne nous mentons pas. La plupart des femmes ont, au cours de leur jeunesse, imaginé plus d'une fois vivre une vie hors du commun au bras d'un beau prince et de connaître une fin d'histoire digne d'un conte de fée. Si les princes William et Harry sont déjà pris, d'autres têtes princières sont encore officiellement disponibles. Nikolai de Monpezat, fils aîné du prince Joachim de Danemark, par exemple. Et avec sa crinière brune, ses traits fins et son regard perçant, il ferait tomber plus d'une personne raide dingue de lui !
Membre de la famille royale du Danemark, Nikolai, prince jusqu'en janvier dernier, a finalement été destitué de ce titre. Aucune raison n'a été donnée. Toujours comte, le jeune garçon n'en a pas tenu rigueur à sa grand-mère, la reine Margrethe II, décisionnaire dans l'histoire. Il vole même de ses propres ailes, loin du palais et des tensions qui peuvent y régner.
C'est en Australie que Nikolai de Monpezat suit ses études d'après Point de Vue. Le temps d'un semestre, il suit des cours à l'université technologique de Sydney. Une île sur laquelle il se verrait bien rester, lui qui grouille de projets. Le mannequin envisage-t-il de s'y installer définitivement une fois ses études terminées pour poursuivre sa carrière dans la mode ? Qu'importe le lieu où il s'installe, sa gueule d'ange a beaucoup de chance de continuer à faire tourner les têtes des plus grands créateurs.
Nikolai de Monpezat ne débute pas dans le monde de la mode. il y a cinq ans déjà, il foulait d'un pas décidé le podium d'un défilé Burberry. Il n'avait que 19 ans mais déjà tout d'un grand dans le milieu. Pour preuve, les sollicitations se sont multipliées et l'ex-prince s'est retrouvé en une de magazines tels que Vogue ou Numéro. Il a également servi de modèle pour la maison Dior notamment.
Le comte Nikolai n'a pas encore la bague au doigt mais son coeur est déjà pris. Il partage la vie de Benedikte Thoustrup, fille d'un riche banquier danois. La jeune femme de 24 ans a d'ailleurs suivi son amoureux en Australie pour poursuivre ses études au plus près de sa moitié. C'est sûr, quand on tient une perle entre ses mains, il ne faut pas la lâcher !