John Mayer, amant généreux ? Ses somptueuses Rolex étaient des fausses !

Avant de se caser plus ou moins durablement avec Katy Perry (ils se sont encore récemment séparés), John Mayer s'est taillé une belle réputation de serial lover. Jessica Simpson, Jennifer Aniston... pour les faire toutes tomber, le musicien de 36 ans s'est appliqué en matière en séduction grâce à une méthode imparable : le charme de la guitare et les yeux de biche d'abord, mais aussi de somptueux cadeaux dont il a couvert ses nombreuses conquêtes.

Amateur de montres, le chanteur a en effet par exemple gratifié chacune de ses girlfriends d'une superbe Rolex – comble du luxe – d'une valeur de plusieurs milliers de dollars. Seulement voilà, aujourd'hui, le beau brun monte au créneau : dans une plainte déposée auprès des tribunaux américains, il assure que ces fameuses montres, qu'il s'est procurées auprès de Robert Maron, accessoirement meilleur ami de Charlie Sheen, étaient en réalité des fausses.

Remonté comme une pendule (c'est le cas de le dire), John Mayer a, comme le rapporte RadarOnline, décidé de poursuivre le Robert Maron en question qui lui a donc vendu les objets "incriminés" en 2007, soit l'année durant laquelle il a fréquenté la chanteuse Jessica Simpson avant de séduire la belle Jennifer Aniston. Le chanteur assure ne s'être rendu compte qu'en 2010 de la supercherie : arrangeant, Robert Maron avait alors reconnu la chose et lui avait offert l'opportunité d'acquérir une nouvelle pièce. Sauf qu'un an plus tard, le charmant trentenaire revient à la charge après avoir réalisé qu'une bonne partie des montres de sa collection personnelle n'étaient pas non plus des originales.

Aujourd'hui, John Mayer réclame des dommages et intérêts à hauteur de 656 000 dollars, soit le prix estimé des véritables Rolex que le chanteur pensait posséder. De son côté, le Daily Mail fait état des nombreuses fois où Jessica Simpson et Jennifer Aniston se sont fièrement pavanées avec les cadeaux clinquants de leur boyfriend de l'époque... sans savoir bien évidemment qu'il s'agissait de contrefaçons.