À l'occasion de la sortie de son livre, Fort comme un hypersensible (ed. Michel Lafon) sur l'hypersensibilité, Maurice Barthélémy a dévoilé quelques pages dans Gala. Dans le numéro du 7 janvier 2020, on découvre un passage évoquant ses relations amoureuses. Notamment un extrait sur ses neuf années passées avec Marina Foïs rencontrée au Cours Florent.
"Cette histoire a duré parce qu'on s'aimait. Mais aussi parce qu'on était hypersensibles tous les deux. Le problème, lorsque deux hypersensibles forment un couple, c'est que l'entente est si parfaite qu'on finit par devenir (presque) des frères et des soeurs. Au bout de huit, ou neuf ans, on s'est séparés, en douceur", se souvient Maurice Barthélémy dans son livre.
L'humoriste et auteur a cependant été plus affecté par sa séparation avec Judith Godrèche. "Au sortir de cette relation, complètement essoré, je me méfie de tout, en particulier des femmes (...) Nous sommes des ex, on ne s'aime plus, mais on s'est aimés. Au nom de cet amour, on se respecte", a-t-il écrit au sujet de la mère de sa fille Tess (15 ans), de qui il s'est séparé en 2015.
C'est d'ailleurs en cherchant plus d'information sur le comportement parfois étrange de sa fille que Maurice Barthélémy s'est rendu compte que comme elle, il était hypersensible. "Ma fille avait 8 ans et j'essayais de comprendre certains signaux (...) Comment expliquer sa grande soif de connaissance, ses angoisses irrationnelles et cette exigence si fore vis-à-vis d'elle-même ?", questionne-t-il dans son livre. C'est en consultant un ouvrage sur l'hypersensibilité qu'il a constaté qu'il n'était pas bipolaire, comme il le redoutait.