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Dans la tempête, Julie Gayet reçoit le soutien de l'une de ses consoeurs, Karin Viard. Invitée de l'émission C à vous présentée par Anne-Sophie Lapix, la comédienne française est venue défendre deux films, L'amour est un crime parfait des frères Larrieu, en salles ce 15 janvier, et Lulu femme nue (en salles le 22 janvier). Cependant, après le dossier consacré à l'idylle supposée entre Julie Gayet et François Hollande et son traitement médiatique à travers le monde, Karin a été interrogée sur ce qu'elle pensait de la situation.
Il ne faudra pas tanner longtemps Karin Viard pour qu'elle s'exprime sur l'affaire Gayet-Hollande. Non pas que l'actrice porte un jugement sur ce scandale, né depuis la publication dans le magazine Closer de photos et d'un article sur une prétendue relation, mais l'héroïne de Haut les coeurs veut soutenir sa collègue : "Je suis obligée de défendre ma consoeur, que j'aime beaucoup et que je connais un peu. Elle n'est pas du tout une fille... je veux dire, quelles ques soient les choses qui se passent avec François Hollande, je ne les connais pas. En tout cas, Julie Gayet n'est pas quelqu'un qui cherche du boulot. C'est une personne très autonome, productrice, qui fait ses films, produit, joue parfois dedans. Elle n'a besoin de personne. Donc l'idée qui revient – 'elle ne bosse pas, elle sort avec le président, c'est une espèce d'actrice...' – ça, c'est complètement faux, c'est l'inverse. Elle est très intelligente, intellectuelle."
On verra ensuite à l'écran Julie Gayet en couverture du dernier magazine Elle, dont la sortie en kiosques aura d'ailleurs été avancée. La jolie comédiene n'en finit plus de défrayer la chronique depuis les révélations de Closer, qu'elle a décidé d'attaquer par ailleurs (le président Hollande avait quant à lui annoncé être indigné mais ne pas vouloir porter plainte). Citée pour être membre du jury de la Villa Médicis, elle a été écartée à l'heure du scandale au profit de la scénariste Emmanuèle Bernheim. Mais la ministre de la Culture Aurélie Filippetti a toutefois tenu à préciser qu'elle avait été pressentie pour des raisons exclusivement professionnelles, en tant qu'actrice, productrice et amoureuse des arts.
L'associé de Julie Gayet, Charles Gillibert (fils du secrétaire d'État aux personnes handicapées Michel Gillibert), est lui aussi monté au créneau pour défendre sa partenaire en affaires qu'il décrit comme une personne déterminée et spontanée. Celui avec qui elle a créé la société Cinémaphore a souhaité, dans une interview accordée au Figaro, mettre certaines choses au clair, comme les rumeurs autour du nom de François Pinault : "Les mots évoqués à côté du nom de l'un des associés [Pinault] (qui n'a que deux parts !!) particulièrement en vue dans le monde des affaires sont simplement une construction journalistique malhonnête. Les statuts d'une société sont toujours aussi larges que possible, en l'occurrence en matière de société d'investissement le conseil n'est pas inutile alors que les produits dérivés sont liés à la production de films." Concernant Julie Gayet précisément, il lâche : "Je ne m'inquiète pas plus que ça, elle est forte. Cela dit, elle est aussi très sensible, elle a des enfants et je suis furieux de la violence et de la stupidité des attaques qu'elle subit."
Il ne faudra pas tanner longtemps Karin Viard pour qu'elle s'exprime sur l'affaire Gayet-Hollande. Non pas que l'actrice porte un jugement sur ce scandale, né depuis la publication dans le magazine Closer de photos et d'un article sur une prétendue relation, mais l'héroïne de Haut les coeurs veut soutenir sa collègue : "Je suis obligée de défendre ma consoeur, que j'aime beaucoup et que je connais un peu. Elle n'est pas du tout une fille... je veux dire, quelles ques soient les choses qui se passent avec François Hollande, je ne les connais pas. En tout cas, Julie Gayet n'est pas quelqu'un qui cherche du boulot. C'est une personne très autonome, productrice, qui fait ses films, produit, joue parfois dedans. Elle n'a besoin de personne. Donc l'idée qui revient – 'elle ne bosse pas, elle sort avec le président, c'est une espèce d'actrice...' – ça, c'est complètement faux, c'est l'inverse. Elle est très intelligente, intellectuelle."
On verra ensuite à l'écran Julie Gayet en couverture du dernier magazine Elle, dont la sortie en kiosques aura d'ailleurs été avancée. La jolie comédiene n'en finit plus de défrayer la chronique depuis les révélations de Closer, qu'elle a décidé d'attaquer par ailleurs (le président Hollande avait quant à lui annoncé être indigné mais ne pas vouloir porter plainte). Citée pour être membre du jury de la Villa Médicis, elle a été écartée à l'heure du scandale au profit de la scénariste Emmanuèle Bernheim. Mais la ministre de la Culture Aurélie Filippetti a toutefois tenu à préciser qu'elle avait été pressentie pour des raisons exclusivement professionnelles, en tant qu'actrice, productrice et amoureuse des arts.
L'associé de Julie Gayet, Charles Gillibert (fils du secrétaire d'État aux personnes handicapées Michel Gillibert), est lui aussi monté au créneau pour défendre sa partenaire en affaires qu'il décrit comme une personne déterminée et spontanée. Celui avec qui elle a créé la société Cinémaphore a souhaité, dans une interview accordée au Figaro, mettre certaines choses au clair, comme les rumeurs autour du nom de François Pinault : "Les mots évoqués à côté du nom de l'un des associés [Pinault] (qui n'a que deux parts !!) particulièrement en vue dans le monde des affaires sont simplement une construction journalistique malhonnête. Les statuts d'une société sont toujours aussi larges que possible, en l'occurrence en matière de société d'investissement le conseil n'est pas inutile alors que les produits dérivés sont liés à la production de films." Concernant Julie Gayet précisément, il lâche : "Je ne m'inquiète pas plus que ça, elle est forte. Cela dit, elle est aussi très sensible, elle a des enfants et je suis furieux de la violence et de la stupidité des attaques qu'elle subit."