Il fut un temps où Julie Gayet et François Hollande se cachaient des médias, vivant à l'abri des regards indiscrets leur idylle révélée au grand public en janvier 2014. Depuis, le quinquennat de l'ancien président s'est achevé et tous deux ressentent moins le besoin de tout verrouiller, tout en cloisonnant suffisamment leur univers pour pouvoir continuer à travailler "sans que l'attention soit détournée", expliquait l'actrice et productrice dans Paris Match. C'est donc sans son compagnon qu'elle a inauguré la 19e édition du Printemps du cinéma à l'UGC Bercy le 18 mars, mais avec Arnaud Ducret, Franck Dubosc, Agathe Bonitzer, Elsa Zylberstein, Franck Gastambide, Jean-Paul Salomé et Paul Hamy.
Durant trois jours exceptionnels, les dimanche 18, lundi 19 et mardi 20 mars, la place de cinéma est au tarif unique de 4 euros dans toute la France, pour tous les films et à toutes les séances. Pour réaliser le film annonce de l'événement cette année, Le Printemps du cinéma a donné carte blanche à Jean-Paul Salomé. Le cinéaste invite le public à assister à la naissance d'une idylle dans une salle de cinéma entre deux spectateurs joués par Zita Hanrot et Finnegan Oldfield sur une musique originale de Bruno Coulais.
Radieuse comme à son habitude pour le printemps du cinéma, la productrice citée aux Oscars (pour Visages, villages et L'Insulte) et aux César (notamment pour Grave) va toutefois affronter prochainement un tourbillon médiatique provoqué par François Hollande lui-même. Selon les informations du Journal du dimanche, dans le livre qu'il va publier dans les prochaines semaines, l'ancien président se confiera sur une thématique qu'il a toujours répugné à aborder : sa vie privée. Il évoquera Valérie Trierweiler, puis son actuelle compagne Julie Gayet.