Samedi 6 février, Christine Bravo et Karine Le Marchand ont beaucoup amusé les internautes. Sans que l'on ne sache vraiment d'où cela est parti, la femme de 59 ans a lancé, sur Twitter, à sa collègue des Grosses Têtes sur RTL : "Chère Karine, t'as vraiment cru que Laurent Ruquier t'avait proposé les Grosses Têtes pour ton intelligence ?"
Mais voilà, comme tout le monde le sait, Karine Le Marchand a du répondant. Munie de son clavier, l'animatrice de L'Amour est dans le pré a alors répliqué : "Ben quoi, tu as tes règles ma Christine chérie ? Oups c'est vrai, tu ne les as plus depuis dix ans !" Un tacle franchement violent et qui a beaucoup étonné les internautes. Voyant l'ampleur que cette phrase a prise et comprenant surtout que son humour n'était pas compris, la sublime présentatrice a tenu à faire savoir qu'entre elle et Christine Bravo, il n'y avait aucune enbrouille : "Pour les sites médias qui inventent des clashs : C Bravo est mon amie et je répondais à une de ses vannes. Se chambrer c un crime en 2016 ?", a-t-elle écrit sur Twitter.
En tout cas, Christine Bravo a profité de sa présence sur le réseau pour pousser un coup de gueule suite au "Flop Ten" de Laurent Ruquier, dédié à la maltraitance des poussins. "J'éteignais ma TV et un mec à qui on montre l'horreur des poussins broyés vivants à #ONPC dit : 'Au delà de ça, faut penser à la malbouffe.' Je crois que ce loustic a dit en préambule : 'En dehors de la souffrance animale' genre la malbouffe est PIRE que le broyage des poussins ! Jean Imbert n'aurait-il pas mieux fait de s'insurger D'ABORD sur les poussins broyés VIVANTS, AVANT d'évoquer la malbouffe ? #ONPC.", a-t-elle écrit. Visiblement, elle n'a pas remarqué que l'ex-Top Chef avait surtout souligné l'horreur de cet acte.
Déjà, le 9 janvier dernier, Christine Bravo se faisait remarquer en livetweetant une émission télé. En effet, en marge de la diffusion de l'émission consacrée aux 30 ans de la disparition de Daniel Balavoine, l'animatrice lâchait sans prendre de gants : "Bon faut arrêter les éloges démagos sur Balavoine ! En 1985, il m'a pourri la vie car j'avais émis une critique sur sa pomme dans Le Matin. Le gars a pleurniché auprès de mon rédac chef ! Et bon, après ça, Balavoine mouché est allé gémir sur les radios comme quoi un journal de gauche osait le critiquer ! Heu... révolutionnaire ?", avait-elle lancé.