L'agression à Paris de Kim Kardashian est à la une de l'actualité ce lundi 3 octobre et fait beaucoup réagir. Dans la nuit de dimanche à lundi, la star de télé-réalité américaine a été victime d'une agression à main armée dans sa chambre d'un hôtel particulier du 8e arrondissement, Le Pourtalès. Deux hommes, déguisés en policiers, l'ont mis en joue et ligotée, avant de voler plusieurs de ses bijoux dont le montant n'a pas encore, pour l'heure, été estimé. "Elle est vraiment très sonnée, mais physiquement, elle est indemne", a tenu à rassurer son porte-parole, alors que KimK participait depuis plusieurs jours à la Fashion Week parisienne.
Parmi les réactions ce matin, celle de Mathieu Kassovitz n'est pas passée inaperçue. Le réalisateur de La Haine n'y va pas par quatre chemins : partageant un lien vers le récit de cette agression, il se dit, en légende, "fier d'être parisien". Comme s'il se réjouissait de l'agression à main armée d'une personnalité – qui est, rappelons-le, mère de famille – dans la capitale française. Seulement voilà, l'humour ne justifie pas tout et la sortie du cinéaste et acteur français n'a pas été appréciée. "C'est censé être quoi ? De la... provoc' ? Non parce que c'est une réaction profondément puérile", lui lâche un internaute alors que d'autres anonymes déplorent qu'il soit "de plus en plus con" et le traitent de "petit bourge salonnard".
D'autres internautes ont réagi, à l'instar d'Amélie Neten. L'ancienne Sécrétiste et aujourd'hui animatrice sur NRJ12 s'est quant à elle demandé comment un tel acte avait pu survenir malgré le service de sécurité dont s'entoure l'épouse de Kanye West. "L'hôtel ne vérifie pas l'identité des visiteurs et donnent les nums de chambres ? Ou un membre du personnel de l'hôtel complice ?", s'interroge la star de télé-réalité, sans savoir qu'il s'agissait d'un hôtel particulier et donc dépourvu d'un accueil. Pas plus qu'un internaute qui envoie une "pensée émue au service de comm du palace parisien qui va devoir justifier qu'on puisse se faire attaquer dans sa suite". Un autre, toutefois, s'étonne : "Si c'était n'importe qui d'autre, vous vous en foutriez."