Alors que l'enquête suit son cours dans l'affaire du braquage à main armée dont a été victime Kim Kardashian le 3 octobre à Paris, de nouvelles déclarations viennent s'ajouter dans la presse.
Contacté vendredi par nos confrères du magazine Closer, le gardien de l'immeuble dans lequel séjournait la star de télé-réalité dans le 8e arrondissement de la capitale, le No Address, s'est en effet exprimé pour la première fois.
Présent tout au long du braquage, le veilleur de nuit (un homme d'une quarantaine d'années qui refuse pour le moment de décliner son identité) avait été contraint d'ouvrir la porte de l'appartement de Kim Kardashian, menacé à bout portant par les cinq assaillants. Il était ensuite resté au côté de la vedette américaine, tandis que les agresseurs s'emparaient de ses nombreux bijoux.
Chère Kim, lorsque vous ressentez la fraîcheur du canon...
Dans son témoignage adressé à la police française, l'épouse de Kanye West avait alors expliqué que le "comportement" du veilleur l'avait décontenancée. "Kim a précisé à la police que le concierge était extrêmement calme, malgré le fait d'être menotté et d'être menacé à bout portant. Elle dit que lorsque les voleurs ont quitté l'appartement, ils ont emmené avec eux le concierge et l'ont laissé dans le hall d'entrée où ses mains étaient toujours attachées", écrivait TMZ mercredi.
Déterminé à "rétablir sa vérité", celui qui "souhaite être appelé par son surnom", c'est-à-dire The Night, se justifie donc sur le flegme dont il a su faire preuve en adressant un message direct à la mère de famille. "Chère Kim, lorsque vous sentez l'acier froid d'un pistolet dans votre cou, c'est le moment où rester calme peut être une question de vie ou de mort, nos deux vies. J'espère que vous allez mieux." Aucun doute que cette lettre ouverte parviendra jusqu'à Los Angeles, où se trouve actuellement la célèbre brunette depuis quelques heures. Les sites TMZ et Daily Mail ont en effet repris les mots du gardien, qui précise qu'il ne "désire pas pour l'instant raconter aux médias ce qu'il s'est passé" dans la nuit du 3 octobre.
S.L.