Kim Kardashian assume "son plus gros défaut" : "Pourquoi le cacher ?"

Kim Kardashian serait-il finalement en train de s'assumer telle qu'elle est ? Presque. La star accro au bistouri a révélé lors d'un récent entretien pour son application payante qu'elle avait fini par accepter sa peau marquée par la maladie. La vedette de télé-réalité souffre depuis plusieurs années de psoriasis, une maladie inflammatoire de la peau qui peut toucher différents endroits.

Après avoir longtemps essayé de cacher les traces disgracieuses que cela laisse sur son corps, la socialite de 35 ans ne veut plus les cacher et les assume à cent pour cent ! "La plaque la plus visible est celle que j'ai sur la jambe droite. Je n'essaie même plus de la couvrir, désormais. Parfois j'ai juste l'impression que c'est mon plus gros défaut mais comme tout le monde est au courant, pourquoi le cacher ? Ça fait tellement d'années, j'ai appris à vivre avec", a-t-elle confié.

La femme du rappeur Kanye West a découvert qu'elle souffrait de psoriasis pour la première fois il y a cinq ans. Une maladie héréditaire largement documentée dans l'Incroyable Famille Kardashian puisqu'elle a tout essayé pour s'en débarrasser, y compris voler le lait de maternité de sa soeur Kourtney pour tenter d'apaiser ses plaies.

"La première fois que j'en ai eu, c'était pour l'ouverture de la boutique DASH à New York. Je portais une robe en sequins et ça a commencé à me démanger. Des tâches sont apparues mais j'ai pensé que c'était seulement à cause de la matière de la robe. Malheureusement, cela s'est étendu sur toutes mes jambes et ma mère a dit que j'avais du psoriasis. Elle en aussi, c'est héréditaire donc elle a immédiatement reconnu les symptômes", a-t-elle expliqué.

Sa maladie diagnostiquée, la maman de North et Saint West (3 ans et 9 mois) veille désormais au grain, évitant certains aliments comme les tomates et les aubergines et appliquant de la crème pour apaiser les démangeaisons. "Parfois, les plaques grattent, parfois elles sont floconneuses. Ça dépend des personnes. Les miennes varient de temps à autre pour différentes raisons. Les médecins continuent de chercher un traitement, mais pour l'instant j'applique de la cortisone chaque nuit avant d'aller me coucher. J'espère qu'on trouvera un remède un jour, bien sûr, mais en attendant, j'apprends à accepter que cela fait partie de moi", a-t-elle conclu.

Coline Chavaroche