Kim Kardashian signe son grand retour dans le talk show d'Ellen DeGeneres (émission diffusée le 27 avril aux États-Unis). Pour la première fois depuis l'agression à main armée dont elle a été victime à Paris le 3 octobre dernier, la star de télé-réalité s'est en effet rendue sur un plateau de télévision pour parler de cette expérience traumatisante.
Se disant "reconnaissante" d'avoir évité le pire (10 millions de dollars de bijoux lui ont été dérobés par ses agresseurs qui ont depuis été arrêtés et mis en examen), la bimbo de 36 ans a affirmé qu'elle n'était désormais plus aussi "matérialiste" qu'avant et que son agression avait été une réelle "prise de conscience". Émue aux larmes, des la voix tremblante, l'épouse de Kanye West a également expliqué que ce braquage lui avait permis de devenir une "meilleure personne" et de mieux se focaliser sur le plus important : sa famille et surtout ses enfants, North (3 ans et demi) et Saint (1 an).
Je ne suis plus là pour frimer
"Je ne veux pas commencer à pleurer mais je sais que cela devait m'arriver. J'ai l'impression d'être une personne si différente. Je ne veux plus pleurer. J'ai vraiment l'impression que ce qui nous arrive dans la vie est fait pour nous apprendre des choses", a-t-elle déclaré tandis qu'Ellen DeGeneres lui tendait un mouchoir. Six mois après les faits, Kim K assure qu'elle ne porte plus de bijoux imposants et qu'elle ne fait plus du tout étalage de ses richesses. "Avant, j'étais clairement matérialiste, bien qu'il n'y ait rien de méchant à avoir des choses pour lesquelles on a travaillé durement. Je suis fière de tous ceux qui rencontrent le succès autour de moi. Mais je suis tellement heureuse d'être celle que je suis pour élever mes enfants. Je suis contente qu'ils voient cette version de moi. Je n'accorde plus d'importance aux choses matérielles. Vraiment. (...) Je ne suis plus là pour frimer comme je le faisais autrefois. Ce n'est plus ce que je suis", a-t-elle déclaré.
Lors de son interview télévisée, la vedette de L'Incroyable Famille Kardashian a également évoqué l'effroyable moment où elle a pensé qu'elle allait mourir. "C'est un sentiment qu'on ne peut décrire. J'ai prononcé une prière, je me suis dit que je savais que j'irais au paradis, que j'espérais que mes enfants et mon mari allaient bien. Vous me faites pleurer... (...) Ça va vite, il y avait bien sept ou huit minutes de torture, mais lorsque je prends du recul et que j'analyse tout ça, je me dis que cela aurait pu être bien pire. Ils n'étaient pas vraiment agressifs, cela aurait pu être bien pire, donc je ne veux pas paraître ingrate. J'en suis sortie, je suis à la maison, je suis en sécurité. Je suis une meilleure personne. Il faut tourner la page", a-t-elle conclu.