Qui s'y frotte, s'y pique ! Très attachés à leur image de marque et sensibles aux ragots colportés à leur sujet dans la presse, Kim Kardashian et Kanye West n'ont visiblement pas apprécié la récente interview vérité donnée par leur ancien bodyguard, Steve Stanulis.
Interrogé dans les colonnes du tabloïd The Sun, cet ex-chippendale ayant travaillé seulement deux semaines pour le couple star avait longuement détaillé le comportement de "diva" du rappeur américain, qui avait fini par le licencier du jour au lendemain après que Steve Stanulis eut osé adresser la parole à Kim K. "Il est la personne la plus condescendante qu'il m'ait été donné de rencontrer. Le monde lui appartient et les personnes ne font qu'exister à travers lui. Je ne sais pas comment fait Kim pour être encore mariée à lui", avait-il lâché.
Evidemment, il n'en fallait pas moins pour que les principaux concernés réagissent à ces attaques de la manière la plus radicale qui soit. Selon TMZ, les parents des petits North et Saint menacent aujourd'hui d'intenter un procès très onéreux à leur ancien employé. Furieux que Steve Stanulis ne tienne pas sa langue, la bimbo de 35 ans et le chanteur de 38 ans souhaitent désormais qu'ils présentent des excuses publiques et qu'il rétracte ses propos. Et ils ont de quoi le tenir, puisque Steve Stanulis a bel et bien signé un contrat de confidentialité qui stipule qu'il serait contraint de mettre la main au porte-monnaie, soit 10 millions de dollars, s'il lui venait l'idée de dire du mal du clan West-Kardashian. Au total, ce procès pourrait lui coûter la bagatelle de 30 millions de dollars, car il est soupçonné d'avoir donné trois interviews exclusives.
A ce stade, il ne s'agit encore que d'une menace. Comme le souligne TMZ, qui trouve le détail qui suit "intéressant", Kim Kardashian et Kanye West ont simplement envoyé un avertissement à Steve Stanulis. "L'avocat lui donne la possibilité de s'en sortir s'il conserve le silence et qu'il publie un communiqué pour présenter des excuses publiques auprès de la famille. Cette lettre ne lui demande pas d'admettre qu'il a menti, mais ils lui demandent d'arrêter de communiquer avec la presse." L'honneur avant toute chose.
S.L.