Laetitia Casta lors de l'avant-première au Gaumont Opéra à Paris du film La Nouvelle Guerre des boutons le 18 septembre 2011© Abaca
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La guerre est déclarée pour Christophe Barratier ! Le réalisateur, qui doit sa notoriété aux fameux Choristes, a présenté en avant-première La Nouvelle Guerre des boutons, adaptation du roman de Louis Pergaud qui est présentée en grande pompe seulement quelques jours après la version de Yann Samuell. Le 18 septembre, une projection chic a donc été organisée pour dévoiler à un public de privilégiés le long métrage.
La Nouvelle Guerre des boutons se différencie de celle qui le précède par l'époque durant laquelle elle se déroule, et son casting. Le contexte historique choisi est celui de la Seconde Guerre mondiale et de la France occupée, avec l'ombre effroyable des rafles qui planait sur les campagnes. De quoi l'éloigner du livre de Pergaud, publié peu avant la Première Guerre, et les adaptations d'Yves Robert (1962) et de Samuell, qui ont choisi l'arrière-plan des années 1960.
Le réalisateur a dirigé le jeune papa Guillaume Canet, dans le rôle de l'instituteur humaniste et, à ses côtés, se distinguent Kad Merad et Gérard Jugnot - habitués de l'univers de Barratier -, Marie Bunel, mais également Laetitia Casta. Le top model et actrice se présente telle une fée, avec sa robe sage d'un blanc immaculé. Maquillage discret et cheveux simplement peignés, la belle Casta n'a pas besoin de grand-chose pour briller. Dernièrement vue dans Derrière les murs, film d'épouvante situé durant les années 1920, la comédienne aime les voyages dans le temps au cinéma et visiblement, toutes les époques lui vont !
D'une délicate élégance, Laetitia Casta a posé avec ses partenaires, et le réalisateur. Ce dernier est d'ailleurs venu bien accompagné. Cependant, La Nouvelle Guerre des boutons est d'abord celle des enfants, qui vivent une expérience formidable. Fiers et impressionnés, ils sont montés sur scène sous les applaudissements : un moment qu'ils ne sont pas prêts d'oublier.
Notons la présence du producteur Thomas Langmann pour qui les enjeux sont gros. Avec sa société La Petite Reine, le fils de feu Claude Berri espère bien faire un carton, puisque le budget a été très lourd : 16 millions d'euros. Son concurrent, la réalisation de Yann Samuell produite par Marc du Pontavice, a fait 87 900 entrées en France lors de son premier jour de sortie. Un démarrage correct mais pas explosif, puisque, à titre de comparaison, Le Petit Nicolas avait réalisé 140 625 entrées ! Ces chiffres dépassent de peu ceux des Choristes de Barratier (85 000 le 17 mars 2004)... La bataille risque d'être serrée !
La Nouvelle Guerre des boutons, au cinéma dès le 21 septembre.
La Nouvelle Guerre des boutons se différencie de celle qui le précède par l'époque durant laquelle elle se déroule, et son casting. Le contexte historique choisi est celui de la Seconde Guerre mondiale et de la France occupée, avec l'ombre effroyable des rafles qui planait sur les campagnes. De quoi l'éloigner du livre de Pergaud, publié peu avant la Première Guerre, et les adaptations d'Yves Robert (1962) et de Samuell, qui ont choisi l'arrière-plan des années 1960.
Le réalisateur a dirigé le jeune papa Guillaume Canet, dans le rôle de l'instituteur humaniste et, à ses côtés, se distinguent Kad Merad et Gérard Jugnot - habitués de l'univers de Barratier -, Marie Bunel, mais également Laetitia Casta. Le top model et actrice se présente telle une fée, avec sa robe sage d'un blanc immaculé. Maquillage discret et cheveux simplement peignés, la belle Casta n'a pas besoin de grand-chose pour briller. Dernièrement vue dans Derrière les murs, film d'épouvante situé durant les années 1920, la comédienne aime les voyages dans le temps au cinéma et visiblement, toutes les époques lui vont !
D'une délicate élégance, Laetitia Casta a posé avec ses partenaires, et le réalisateur. Ce dernier est d'ailleurs venu bien accompagné. Cependant, La Nouvelle Guerre des boutons est d'abord celle des enfants, qui vivent une expérience formidable. Fiers et impressionnés, ils sont montés sur scène sous les applaudissements : un moment qu'ils ne sont pas prêts d'oublier.
Notons la présence du producteur Thomas Langmann pour qui les enjeux sont gros. Avec sa société La Petite Reine, le fils de feu Claude Berri espère bien faire un carton, puisque le budget a été très lourd : 16 millions d'euros. Son concurrent, la réalisation de Yann Samuell produite par Marc du Pontavice, a fait 87 900 entrées en France lors de son premier jour de sortie. Un démarrage correct mais pas explosif, puisque, à titre de comparaison, Le Petit Nicolas avait réalisé 140 625 entrées ! Ces chiffres dépassent de peu ceux des Choristes de Barratier (85 000 le 17 mars 2004)... La bataille risque d'être serrée !
La Nouvelle Guerre des boutons, au cinéma dès le 21 septembre.