Dany Boon doit faire avec : il n'est plus le seul homme dans la vie de sa chère et tendre. Laurence Arné a accueilli il y a quelques jours un petit teckel nain, et elle n'a d'yeux que pour lui ! A tel point que ce samedi 15 juin, le couple, présent au festival de Cabourg, est venu en charmante compagnie de Gino, le nouveau chiot qu'a adopté Laurence Arné il y a quelques jours, et qu'elle n'arrive pas à quitter. A tel point que comme le révèlent les clichés pris du couple lors du photocall traditionnel, Gino a bien failli faire trébucher sa maîtresse en la collant un peu trop ! Drame évité de justesse...
En effet, ce même jour, Laurence Arné et Dany Boon étaient les invités de Léa Salamé sur France 2 pour la dernière de Quelle époque. Venus assurer la promotion de leur nouveau long métrage, La famille Hennedricks, une comédie dans laquelle Justine, l'héroïne, refuse de laisser partir son fils Henri chez son père et l'emmène de force dans un road trip aux allures musicales. L'occasion pour Dany Boon de revenir sur cette vie à trois toute récente, qu'il a du mal à encaisser pour l'instant...
Profitant du photocall habituel de Quelle époque, au cours duquel Léa Salamé convie ses invités à poser une question à la personne qui s'affiche devant eux, Dany Boon a fait face à une photo de sa compagne. Ni une, ni deux, sa question s'est révélée radicale : "Est-ce que tu vas un peu revenir ?" Si cette question a provoqué l'hilarité générale, Dany Boon l'a rapidement justifiée, en expliquant que sa vie était devenue un calvaire depuis l'arrivée de Gino dans leur vie : "Mon drame d'aujourd'hui, c'est qu'elle ne me regarde plus parce qu'elle a un chiot depuis 15 jours, un teckel nain, et je n'existe plus".
Laurence Arné a reconnu que s'occuper d'un teckel nain n'était pas chose évidente, surtout au début... La comédienne et réalisatrice, que Dany Boon a rencontrée sur le tournage de Radin ! a reconnu que Gino faisait encore quelques petites bêtises qu'ils peinaient à stopper : "Il chie partout, c'est un peu gênant". Et Dany Boon de conclure dans un langage fleuri mais pas moins drôle : "J'ai ramassé sa merde dans un cinéma".