Le prince Albert de Monaco, qui remettait mercredi 17 novembre des paquets aux personnes âgées en compagnie de sa soeur Stéphanie de Monaco, a accordé jeudi une interview au Figaro, à la veille de la Fête nationale monégasque.
Outre ses déclarations à propos de l'ambition internationale qu'il a pour la Principauté, l'image du Rocher et sa politique, il a évidemment parlé de sa fiancée, Charlene Wittstock, qu'il épousera en juillet 2011, sur la place du Palais Princier.
C'est avec sincérité et fierté que le souverain a une fois encore vanté les qualités de la discrète Sud-Africaine, soulignant son grand sens de l'engagement, qui lui a déjà permis de conquérir "le coeur des Monégasques".
Albert a réaffirmé l'envie de sa future épouse de s'investir encore dans de nombreuses causes humanitaires, elle qui est déjà engagée auprès de la Born Free Foundation, des Special Olympics et de la Nelson Mandela Foundation. "L'histoire de son pays, l'Afrique du Sud, a nourri de façon encore plus forte chez elle les valeurs de générosité, de solidarité et d'humanisme", a-t-il confié.
Concernant le mariage, il a expliqué que la fête alliera "traditions et modernité, ainsi que la force des institutions dans l'expression de leur simplicité". Il a également émis le voeu que son union fasse mieux connaître "Monaco au-delà des stéréotypes que l'on peut en avoir."
Quant au rôle que jouera la jolie sirène sur le point d'être princesse une fois mariée, le prince Albert est serein. Il a notamment évoqué la place qu'elle pourra prendre auprès de ses soeurs Stéphanie et Caroline : "Mes soeurs défendent avec énergie et passion, depuis de nombreuses années, des causes reconnues au plan international. Vous savez à quel point le monde souffre et, hélas, nous ne serons jamais assez nombreux pour venir en aide à ceux qui en ont besoin."
La nouvelle composition officielle de la famille royale se mettra en place en douceur et sera placée sous le signe de la fraternité et de l'action.
L.R