Une véritable James Bombe girl dans sa plus sensuelle quintessence. Léa Seydoux, 30 ans, a fait grimper la température en ce 3 novembre lorsque l'édition italienne du magazine GQ a dévoilé la couverture de son numéro de novembre. L'actrice française, bientôt à l'affiche de Spectre, pose dans une sorte de robe de style nuisette, une création en tulle plissé issue de la collection automne-hiver 2015/16 de la Maison Valentino.
Jouant sur la transparence, la tenue, terriblement sexy, dévoile les atouts de la star, et notamment sa poitrine, nue. À tel point que, pour présenter sa couverture, le magazine masculin a préféré flouter les seins de la demoiselle pour ne pas trop en dévoiler. En citation sur la couverture, il est écrit : "James Bond est amoureux de moi, je n'ai pas besoin de le séduire." Une déclaration certes prétentieuse sur le papier, mais qui résume parfaitement le personnage de Madeleine Swann, une James Bond girl moderne, indépendante, charmante, dure à cuire et mystérieuse. Autant de qualificatifs qui feront fondre notre agent 007, lequel, pour la première fois dans la saga de l'espion britannique, dévoile des sentiments amoureux. Oui, notre belle Léa a fait craquer le si flegmatique Bond. Chapeau bas.
De quoi faire écho aux récents propos tenus par Debbie McWilliams, la directrice de casting des James Bond depuis 1981, qui a permis à l'héroïne de La Vie d'Adèle de venir gonfler les rangs déjà fournis des Françaises ou francophones à avoir charmé 007. La Britannique confiait en effet que la jeune blonde n'était pas prévue au départ, mais qu'elle a su convaincre lors d'une audition en deux temps. En plus d'avoir le joli minois et le physique parfait pour être une James Bond girl, la Frenchie avait visiblement ce "sale caractère" prôné par McWilliams, nécessaire selon elle pour donner la réplique à l'interprète de Bond. Un caractère désinvolte, profondément sensuel, empreint de mystère et de sérénité, que Léa Seydoux affiche aujourd'hui sur la couverture de ce GQ. Quant à vous, chères lectrices, si l'envie vous prenait d'imiter l'héroïne de Spectre, la pièce de la Maison Valentino est commercialisée... au prix de 4 980 euros. Le prix pour être aussi sensuelle qu'une James Bombe girl...
Christopher Ramoné