Ce ne sont pas cinq petits mois de grossesse qui vont empêcher Lily Allen de voyager. Au programme récemment, la ville des lumières, la capitale de la mode : Paris. Lily s'est offert une virée shopping, un joli rhume, et une place de choix au défilé Chanel.
Aussitôt après le défilé, la chanteuse à la retraite, qui s'occupe désormais d'une boutique vintage, est rentrée à Londres retrouver son homme Sam Cooper car une affaire importante l'y attendait. Son avocat, Mark Thomson, défendait ses intérêts devant la Haute Cour. Jeudi, Lily Allen a accepté des excuses et des dommages et intérêts du magazine français So Foot qui lui avait prêté à tort des propos désobligeants. Selon un article publié en mai 2009, Lily aurait traité Victoria Beckham de "monstre" et Cheryl Cole de "stupide et artificielle."
Richard Dugdale, avocat du magazine, a indiqué à la cour que So Foot présentait "des sincères excuses à la plaignante pour les dommages provoqués, ainsi que le trouble et la gêne qui lui ont été causés par la publication de l'article."
Selon Mark Thomson, So Foot a reconnu que la chanteuse ne leur avait jamais donné d'interview.
Le montant des dommages et intérêts n'a pas été divulgué, mais à titre d'information, sachez que Lily Allen a obtenu 11 400 euros du tabloïd The Sun qui n'avait fait que reprendre les affirmations de So Foot.
Lily Allen a toutefois la langue bien pendue. On le sait. En 2008, en pleine cérémonie des GQ Awards, elle demandait même à Elton John d'aller, très vulgairement, se faire voir. Mais sur ce coup-là, Lily était innocente.