Lindsay Lohan : Traitée de la pire des façons par la justice américaine

Lindsay Lohan, qui vient de souffler ses 25 bougies (un anniversaire qu'elle a fêté de façon étonnamment sage !), s'offre la une du nouveau numéro du magazine Vanity Fair italien.

La séance photo s'est déroulée à son domicile de Venice, alors qu'elle était toujours assignée à résidence sur décision de justice.

Ayant aujourd'hui retrouvé sa liberté après trente-cinq jours d'assignation à domicile, la starlette se répand aujourd'hui dans la presse. Dans Vanity Fair, elle assure avoir été traitée de la pire des façons par la justice américaine, estimant qu'elle n'aurait jamais dû être condamnée.

"J'ai été placée en prison à côté de femmes qui avaient tué. Sauf s'il s'agit d'un criminel, je ne vois aucun motif valable pour mettre quelqu'un en prison. Je n'ai jamais fait de mal à personne !", déclare-t-elle dans les colonnes du mensuel. Et d'ajouter : "Je pense que quand on est jeune et dans la situation dans laquelle je me suis trouvée, on ne prend pas le temps d'apprécier les choses simples de la vie."

Pour rappel, Lindsay Lohan avait été déclarée coupable d'avoir volé un collier d'une valeur de 2 500 euros dans une bijouterie. Après avoir écopé d'une peine de 4 mois de prison ferme et de 480 heures de travaux d'intérêt général, sa peine de prison a finalement été revue et aménagée après une courte détention, à une assignation à domicile associée au port d'un bracelet électronique.

Joachim Ohnona