Elle cumule les succès et est devenue une star nationale. Louane Emera, 19 ans, est l'étoile hexagonale qui continue de monter, mais derrière l'artiste et la vedette, qui se cache ? Une jeune fille débordante d'énergie positive et de naturel. Elle a été choisie pour faire la couverture du magazine Elle et se confie dans les pages du magazine féminin. Ses mots d'ordre : sincérité et fraîcheur.
Avec son carton au cinéma - La Famille Bélier - et celui de son album Chambre 12, on pourrait penser que la vie quotidienne de celle qui a été révélée par est bouleversée par la célébrité. Et pourtant, elle révèle qu'elle continue de prendre le métro : "Oui, tout le temps ! J'ai une station en bas de chez moi. Et comme je suis discrète, en général, les gens ne me reconnaissent pas. Je sais que ça peut étonner certaines personnes, qui pensent que j'aurais pu péter les plombs, mais ça ne m'est pas arrivé parce que je suis très bien entourée." Avec sa fratrie faite de trois soeurs et un frère, elle garde les pieds sur terre mais elle relativise l'influence qu'elle, notamment aux yeux des fillettes qui composent une grande partie de son public : "On me qualifie souvent de 'grande soeur' de. J'en suis une dans la vie. J'adore ma petite soeur et j'espère être la meilleure grande soeur possible, mais je ne suis pas parfaite avec elle, j'ai mes défauts.... Avoir réussi jusqu'ici ne me donne pas le droit d'être un exemple."
L'amour est un sujet que Louane aborde avec pudeur dans son interview pour le magazine Elle. Maintenant qu'elle est une star, est-il plus difficile pour celle qui interprète des chansons d'amour mélancoliques de tomber amoureuse de quelqu'un ? "Je ne crois pas... Quand je rencontre un mec, ce n'est pas 'je rencontre un mec', soit c'est une vraie rencontre et la célébrité ne compte pas, soit c'est quelqu'un d'intéressé et ça, si je ne le vois pas tout de suite, je le vois vraiment pas loin derrière... Ou alors mes amies me préviendront. Elles me protègent en me traitant sans façons. Si je suis en retard à nos rendez-vous, elles vont me pourrir même si j'ai travaillé toute la journée. C'est bien. Comme elles me traitent toujours normalement, je garde mon équilibre !"
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Elle du 8 juillet