Jérémie Elkaïm et Valérie Donzelli le 4 septembre 2012© BestImage
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Parler de "pépite" pour un film qui ne s'est dévoilé pour le moment qu'à travers une bande-annonce semble hâtif. Pourtant, la nouvelle réalisation de Valérie Donzelli, Main dans la main, pourrait en être une et Purepeople.com ose utiliser ce terme, cette oeuvre possédant de beaux atouts qui ont tout pour la mettre sous les projecteurs.
Cannes se souvient encore de la projection de La guerre est déclarée, en ouverture de la Semaine internationale de la critique en 2011. Fable autobiographique inspirée de sa lutte contre la leucémie qui a atteint son fils, La guerre est déclarée a déstabilisé les spectateurs avec sa vision romancée et pleine d'espoir d'un combat contre la mort. Avec son alter-ego cinéphile Jérémie Elkaïm, père de son enfant dont elle est désormais séparée mais qui reste son complice, l'artiste dévoilait une vision forte et décalée qui récoltera six nominations aux César.
Pour sa nouvelle oeuvre, Valérie Donzelli n'avait pas l'intention de se reposer sur ses lauriers et a choisi un défi de taille avec Main dans la main : une romance chorégraphiée comme une comédie musicale qui parle d'amour et de désamour. Dans les premiers rôles, Jérémie Elkaïm trouve une place de choix mais l'élue de son coeur n'est pas Valérie Donzelli. Réalisatrice mais également devant la caméra, elle a cependant écrit le rôle féminin principal pour Valérie Lemercier.
Présenté en compétition du Festival du film de Rome en novembre, Main dans la main conte la rencontre d'Hélène Marchal et Joachim Fox. Ils ont chacun des vies bien différentes puisqu'Hélène dirige la prestigieuse école de danse de l'Opéra Garnier et Joachim, lui, est l'employé d'un miroitier de province. Mais une force étrange les unit. Au point que, sans qu'ils puissent comprendre ni comment ni pourquoi, ils ne peuvent plus se séparer. C'est physiquement impossible. Comme si de l'instant de leur rencontre Hélène et Joachim se mettaient malgré eux à valser dans un infernal duo....
Main dans la main, en salles le 19 décembre
Cannes se souvient encore de la projection de La guerre est déclarée, en ouverture de la Semaine internationale de la critique en 2011. Fable autobiographique inspirée de sa lutte contre la leucémie qui a atteint son fils, La guerre est déclarée a déstabilisé les spectateurs avec sa vision romancée et pleine d'espoir d'un combat contre la mort. Avec son alter-ego cinéphile Jérémie Elkaïm, père de son enfant dont elle est désormais séparée mais qui reste son complice, l'artiste dévoilait une vision forte et décalée qui récoltera six nominations aux César.
Pour sa nouvelle oeuvre, Valérie Donzelli n'avait pas l'intention de se reposer sur ses lauriers et a choisi un défi de taille avec Main dans la main : une romance chorégraphiée comme une comédie musicale qui parle d'amour et de désamour. Dans les premiers rôles, Jérémie Elkaïm trouve une place de choix mais l'élue de son coeur n'est pas Valérie Donzelli. Réalisatrice mais également devant la caméra, elle a cependant écrit le rôle féminin principal pour Valérie Lemercier.
Présenté en compétition du Festival du film de Rome en novembre, Main dans la main conte la rencontre d'Hélène Marchal et Joachim Fox. Ils ont chacun des vies bien différentes puisqu'Hélène dirige la prestigieuse école de danse de l'Opéra Garnier et Joachim, lui, est l'employé d'un miroitier de province. Mais une force étrange les unit. Au point que, sans qu'ils puissent comprendre ni comment ni pourquoi, ils ne peuvent plus se séparer. C'est physiquement impossible. Comme si de l'instant de leur rencontre Hélène et Joachim se mettaient malgré eux à valser dans un infernal duo....
Main dans la main, en salles le 19 décembre