À la fin du mois de janvier 2022, Marion Maréchal a annoncé être enceinte de son deuxième enfant - le premier avec son mari Vincenzo Sofo - lors d'une interview avec Le Parisien qui annonçait son retour sur la scène politique. Une naissance prévue pour le mois de juin, durant la période des élections législatives. Sur le plateau de l'émission Restons Zen de Paris Première, celle qui a rallié Eric Zemmour au détriment de sa tante Marine Le Pen a évoqué son futur bébé et notamment son prénom.
L'intensité de la campagne est retombée avec la victoire d'Emmanuel Macron, mais les personnalités politiques continuent d'arpenter les émissions de télévision pour se préparer aux législatives. Marion Maréchal s'est ainsi rendue dans les locaux de Paris Première pour y parler du futur du jeune parti qu'elle a rejoint, Reconquête. Interrogée sur ses projets, l'ancienne députée a indiqué qu'elle n'était pas sûre de présenter sa candidature aux législatives qui se tiendront les 12 et 19 juin prochain : "Je me suis laissée un peu de temps, pour des raisons personnelles." En effet, enceinte, elle devrait accoucher durant cette période. C'est ainsi qu'elle ajoute : "Ayant bien géré mon timing, je dois accoucher le jour du deuxième tour. (...) Le 18 juin." Un autre invité, Raphaël Enthoven, remarque que c'est également peu avant l'anniversaire de son célèbre grand-père, Jean-Marie Le Pen, mais sa petite-fille ne rebondira pas sur cette précision.
Très à l'aise sur le plateau de l'émission - plus que devant les blagues de Philippe Caverivière sur RTL, la femme politique de 32 ans s'épanche même sur le prénom du bébé, réagissant au clin d'oeil de l'animatrice Anaïs Bouton. En effet, cette dernière propose Charles, puisque le terme de sa grossesse correspond à l'appel du général de Gaulle. Marion Maréchal rétorque alors : "Oui, vous direz ça à mon mari italien, il veut un prénom italien lui." C'est alors qu'on lui fait remarquer que le patron de son parti revendique l'importance de choisir un prénom "bien français". "Je ne me laisse pas faire", a-t-elle répondu avec le sourire.
Avec 7% au premier tour des présidentielles, Eric Zemmour n'a pas pu réaliser sa "Reconquête" tant espérée. Les législatives permettront de savoir si le mouvement qu'il a lancé tambour battant à la fin de l'année 2021 est une comète ou bien s'il va durer dans le temps.