Mary-Kate Olsen avait tout fait pour garder son divorce secret, mais le coronavirus en a voulu autrement. Les documents de sa demande urgente déposée devant la Cour Suprême de New York le 14 mai 2020 auraient dû être scellés, comme le veut la procédure pour les cas sensibles ou médiatisés. Cela n'a pas été le cas, comme l'apprennent des sources judiciaires à la Page Six du New York Post.
La demande de divorce Mary-Kare Olsen (33 ans) aurait normalement dû être scellée et introuvable des médias, mais à cause de la pandémie de Covid-19, le personnel de la Cour Suprême de New York est en télétravail et tout se fait sur internet. Non-scellés de fait, les documents du divorce de l'actrice et d'Olivier Sarkozy ont circulé et de se sont rapidement retrouvés dans la presse.
Pour Mary-Kate Olsen, qui aime garder sa vie privée secrète, devoir avoir un divorce médiatisé a été "extrêmement difficile", d'après un collègue resté anonyme. Une épreuve d'autant plus difficile, puisqu'elle donnait beaucoup de détails dans ces documents juridiques, déclarant être "pétrifiée" à l'idée de se retrouver à la rue en pleine pandémie, Olivier Sarkozy ayant retiré son nom du bail de leur appartement new yorkais.
"Mon mari essaie de me priver de la maison dans laquelle nous avons vécu et, s'il réussit, je ne vais pas seulement perdre ma maison, je risque aussi de perdre mes biens personnels", écrivait-elle dans ces fameux documents. Des e-mails étaient ajoutés au dossier, prouvant que le demi-frère de Nicolas Sarkozy avait demandé au propriétaire de l'immeuble s'il pouvait enlever ses affaires. À cause du confinement, sa demande a été déclinée. "L'appartement ne bouge pas", a confié une source proche d'Olivier Sarkozy au New York Post.
Aujourd'hui, Mary-Kate Olsen a quitté l'appartement de sa soeur jumelle dans lequel elle avait trouvé refuge. Elle loue désormais une résidence de luxe dans les Hamptons, louée à 325 000 dollars pour l'été. Olivier Sarkozy (50 ans) serait confiné à Manhattan, en famille.