Il aura suffi d'une apparition sur une plage de Santa Barbara pour que Jameela Jamil soit considérée comme la nouvelle meilleure amie de Meghan Markle... mais il n'en est rien. L'actrice britannique a bel et bien profité d'une virée en amoureux près de la nouvelle villa des Sussex à Montecito, le 23 août 2020, mais elle n'a pas pour autant séjourné chez le duc et la duchesse. Jeudi, la star de la série The Good Place a mis un terme aux rumeurs avec la franchise qui fait désormais sa réputation.
"Je n'ai rencontré cette femme qu'une seule fois. Des meilleures amies qui vivent maintenant ensemble pendant le confinement ?", a-t-elle écrit dans un message publié sur Instagram et Twitter, en répondant à un article publié par le Daily Express, affirmant que Jameela Jamil s'était confinée avec sa "nouvelle meilleure amie" Meghan. Une information notamment justifiée par le fait que l'actrice a pris la défense de la duchesse de Sussex sur Twitter au moment même où elle profitait de son week-end dans un hôtel de Santa Barbara avec son compagnon James Blake...
"Depuis que j'ai dénoncé pour la première fois les médias britanniques (principalement des tabloïds) pour leur comportement raciste à son égard, j'ai été victime de harcèlement de la presse, ma famille a commencé à être harcelée, à se voir offrir de l'argent pour me salir, moins d'une semaine après mon premier tweet la défendant, a expliqué Jameela Jamil à ses fans. Ce qui a suivi a été une pléthore de mensonges et de rumeurs sur moi (...). Maintenant, ils hyperbolisent une relation qu'ils ont décidé que j'avais avec elle pour donner l'impression que je dis ces choses par 'loyauté' alors qu'il s'agit juste de dénoncer la misogynie et le racisme quand j'en vois."
Le 22 août dernier, elle avait dénoncé un article du Britannique Dan Wootton, officiant au Sun, qui reprochait à Meghan Markle d'être "en campagne contre Donald Trump" alors que la famille royale britannique interdit toute prise de parti politique en public. Ce à quoi Jameela Jamil avait répondu sur Twitter : "Je PENSE qu'ils doivent être plus embarrassés par [le prince] Andrew leur résident pédophile, qui était copain avec un trafiquant sexuel [Jeffrey Epstein], que par une Américaine soutenant le vote des femmes dans son propre pays et faisant vaguement référence à l'importance de la démocratie en général, qui se trouve être menacée ici actuellement."