Nouveau rebondissement dans le divorce de Mel B et son futur ex-mari Stephen Belafonte. Le mois dernier, l'ex-Spice Girl a demandé le divorce, après sept ans d'union, au producteur qu'elle accuse de violences conjugales, extorsion et chantage sexuel.
Au coeur du scandale ? Lorraine Gilles, la nounou de ses trois filles : Phoenix (18 ans, dont le père est Jimmy Gulzar), Angel (10 ans, dont le père est Eddie Murphy) ainsi que Madison (5 ans, qu'elle a eue avec Stephen). Melanie Brown, qui a reconnu avoir consenti à des plans à trois pour satisfaire les envies de son mari, a aussi porté plainte contre la bombe allemande, qu'elle accuse d'être "une prostituée, une briseuse de couple et une extorqueuse de fonds".
D'après elle, Lorraine et Stephen l'auraient menacée de diffuser des vidéos compromettantes si elle ne leur versait pas l'argent qu'ils demandaient et le père de famille aurait forcé la nounou à avorter. Ce dont la principale intéressée se défend. Après avoir porté plainte pour diffamation, elle a d'ailleurs fait parvenir plusieurs photos à différents médias, notamment le site People et TMZ, témoignant de sa grande proximité avec Stephen et Mel.
Sur les clichés en question, on peut voir la chanteuse de 41 ans embrasser tendrement la nounou sur la joue, cette dernière étant aussi régulièrement invitée à venir en vacances avec la famille qu'elle suivait dans ses nombreux déplacements. La jeune femme, aujourd'hui mariée à un certain Michael Bleau, assure que Mel B, bien qu'elle prétende le contraire, était parfaitement au courant de ses escapades avec Stephen Belafonte. Alors que les deux femmes s'écharpent par avocats interposés, Stephen Belafonte fait profil bas.
Ce lundi 24 avril, il a été photographié tout sourire à la sortie du tribunal où un juge lui a accordé un droit de visite, très surveillé, à sa fille Madison. Il n'aura le droit de la voir que deux fois par semaine pendant quatre heures, dans un centre spécialisé et sous la surveillance d'un représentant de la justice. Une décision qui résulte directement des accusations de Mel B, laquelle a obtenu une ordonnance de restriction à l'égard de celui qu'elle accuse d'être "un danger" pour ses enfants étant donné ses relations avec le grand banditisme et l'industrie pornographique.
Larry Bakman, l'avocat de la chanteuse, assure que Stephen aurait "fait venir des femmes d'autres pays pour travailler dans l'industrie pornographique et blanchi de l'argent". Il rapporte qu'il a fait venir à leur domicile un meurtrier tout juste sorti de prison après huit ans derrière les barreaux, connu sous le nom de True Life. Il ajoute qu'il serait détiendrait illégalement une arme à feu et aurait loué plusieurs emplacements à Los Angeles pour y tourner des scènes de film à caractère sexuel. Grace Jamra, qui le représente, n'a pas souhaité commenter "ses accusations montées de toutes pièces".
Coline Chavaroche