Mélanie Laurent n'a pas choisi la simplicité concernant sa vie personnelle, mais elle a écouté son coeur. En effet, l'actrice française, qui fête en ce mardi 21 février ses 40 ans, vit désormais le rêve américain loin de la France, puisqu'elle est installée dans la mégapole de Los Angeles. Mais la comédienne ne s'est pas rendue là-bas par hasard, ni uniquement dans un but professionnel pour se rapprocher d'Hollywood, car elle y vit aux côtés de son compagnon, un producteur américain. Ensemble, ils ont eu une petite fille nommée Mila en 2019.
"Vivre à Los Angeles est assez doux", évoquait-elle déjà en 2020 au sujet de ce nouveau choix de vie auprès de nos confrères de Version Femina. "D'ailleurs, je suis vite revenue (...). Je suis rentrée au premier confinement, mais j'y retournerai, car le père de ma fille, qui m'a suivie en France, est américain. Il vit ici depuis deux ans et il s'y plaît mais, avec le confinement, il ne voit pas le pays sous son meilleur jour", développait-elle alors.
Seulement, Mélanie Laurent avait déjà eu un premier enfant, un fils prénommé Léo, avec un technicien du cinéma en septembre 2013. Or celui-ci est resté en France, en Bretagne plus précisément. Mais loin de le délaisser, elle lui rend régulièrement visite et demeure présente pour lui.
"Je n'ai jamais autant travaillé que depuis que je suis maman. Je veux pouvoir dire à ma fille que je suis une femme et une artiste libre. Mes enfants s'adaptent à mon travail et à ma vie, et moi aux leurs. Mon fils a eu envie d'un quotidien stable, ce que j'ai respecté. Il est avec son père et je fais des allers-retours", expliquait-elle récemment lors d'une autre interview auprès du même magazine.
Dans un précédent entretien accordé au magazine Madame Figaro, peu de temps après son installation en Californie, Mélanie Laurent avait expliqué que "les grandes décisions de (sa) vie sont liées à une histoire d'amour" : "C'est parce que j'ai rencontré un Américain qui vit à Los Angeles que je suis partie. Ce changement un peu improvisé a été d'autant plus fort que je ne vivais plus à Paris. Ces dernières années, j'habitais sur une île, en Bretagne. Je suis donc passée de ma petite île à cette mégalopole, où je me perds un peu parfois".
"Cette décision de s'installer aux États-Unis, je l'ai prise parce que notre vie ensemble est ici. Mais rien n'est gravé dans le marbre. Je n'ai pas l'impression d'avoir lâché la France. J'ai gardé un pied-à-terre à Paris, où j'ai ma famille, mes amis", concluait-elle.